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Im ganzen und grossen zweifeln die Deutschen nicht daran, dass das was ihnen  
Im ganzen und grossen zweifeln die Deutschen nicht daran, dass das was ihnen  
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=== La science médicale jusqu'à l'aube des découvertes scientifiques fondamentales ===
=== La science médicale jusqu'à l'aube des découvertes scientifiques fondamentales ===


{{Page |n°=51/12}} Même avant la période que Léonard de Vinci, van Helmont, Galilée, Vésale et Harvey ont commencé pour la physique, la chimie et la physiologie, ce n'était pas très bien pour l'humanité souffrante. L'art d'Hippocrate et son école avaient été perdus. Die sorgfältige Beobachtung des Kranken, die Berücksichtigung des ganzen Menschen in der Behandlung, die getreue Vergleichung der Krankheitssymptome und Krankheitsbilder, die exakte Aufzeichnung der Krankheitsgeschichten, das stets Gegenwärtighalten der Heilkraft der Natur, als der Hauptstütze des Arztes, die genaue Abwägung dessen wann es zum Eingreifen Zeit sei und die ständige Rücksicht auf den Kräftezustand des Patienten, die schonendende Art der Heilmethoden und das Streben die Leiden zu linder, die sorgsame Pflege des Unheilbaren und die weitgehende Anwendung von <span style="color:white;">white space</span> und Naturheilmitteln, vor allem aber die Unvoreingenommenheit gegenüber allerhand Spekulationen und Theorien, Erklärungen und Deutungen physiologischer und pathologischer Prozesse: das war zusammen mit jener Hochzeit perikleischer Kultur, der sie entstammte, untergegangen. Diese Medizin wusste wenig von Anatomie, Chemie, Physik und Physiologie. Sie war aber <span style="color:white;">white space</span>, gewiss oft heilbringend und wohl selten schädlich. Nicht aus einem skeptischen Kriticismus gegenüber voreiligen Systemen heraus, sondern aus einem kaum verständlichen Hang für gegenständliches floss es, dass die herkömmlichen vier Elemente und vier Elementarqualitäten, sowie einiges andere Begriffliche das aus der älteren griechischen Philosophie, gewissermassen axiomatisch, sich in der Hippokratischen Medizin vorfindet, in dieser Schule nie dazugeführt haben diese Begriffe anders als blosse Ausdrucks und Beschreibungsmittel zu benutzen, ohne ihnen ein eigenes unmaterielles Sein, oder gar eine bestimmende Grundfunktion für das Heilverfahren selbst zuzuschreiben, wie es im zweiten Jahr. nach unserer Zeitrechnung Galenus tat. Die Galenische Medizin hatte
{{Page |n°=51/12}} Même avant la période que Léonard de Vinci, van Helmont, Galilée, Vésale et Harvey ont commencé pour la physique, la chimie et la physiologie, ce n'était pas très bien pour l'humanité souffrante. L'art d'Hippocrate et son école avaient été perdus. {{Page |n°=14/51/14}}<ref>There is also another translation of the this passage, pp. 53-54 of the archive.</ref>
L'observation attentive du patient, la prise en compte de toute la personne dans le traitement, la comparaison fidèle des symptômes de la maladie et des tableaux cliniques, l'enregistrement exact de l'évolution de la maladie, en laissant toujours intervenir le pouvoir curatif de la nature comme pilier de la médecine, la prise en compte exacte du moment opportun pour intervenir et la prise en compte constante de l'état de santé du patient, la douceur des méthodes de guérison et l'effort pour soulager la souffrance, le soin attentif de l'utilisation incurable et généralisée des diataïschen et des remèdes naturels, mais surtout l'impartialité (le recul sur) face à toutes sortes de spéculations, théories, explications et interprétations des processus physiologiques et pathologiques : toutes ces choses s'étaient perdues en se mariant avec la culture de Périclès dont elles sont issues. Cette médecine connaissait peu l'anatomie, la chimie, la physique et la physiologie. Mais c'était doux, certes souvent salutaire et rarement nuisible.
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| {{Page |n°=15/52/15}} Ce n'est pas par une critique sceptique des systèmes prématurés mais par une propension à peine compréhensible pour le concret, que la philosophie grecque antique, dans une certaine mesure axiomatique, dans la médecine hippocratique, trouve les quatre qualités conventionnelles et les quatre qualités élémentaires. Dans cette école, ils n'ont jamais conduit à utiliser ces concepts autres que la simple expression et les moyens de description, sans leur attribuer leur propre existence non matérielle, voire une fonction fondamentale déterminante du processus de guérison lui-même, comme la deuxième année après notre ère, Galien l'a fait. || {{Page |n°=15/53/15}} Non pas d'une critique sceptique des systèmes prématurés, mais d'une propension à l'objectif à peine compréhensible, il est apparu que les qualités élémentaires des éléments conventionnels, ainsi que d'autres conceptuels, de la philosophie grecque ancienne, dans une certaine mesure axiomatique, se retrouvaient dans la médecine hippocratique. Dans cette école, ils n'ont jamais mené à autre chose que la simple expression et les moyens de description, sans leur donner un rôle déterminant dans le processus de guérison lui-même, ce que Galien a fait au deuxième siècle de notre ère.
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La médecine galénique avait l'avantage d'avoir reçu des connaissances scientifiques beaucoup plus riches que celle de l'époque  d'Hippocrate, mais avait déjà le grand inconvénient d'avoir formé une <u>théorique médicale systèmatique</u> (figée). C'était le début de la perversité.
 
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|{{Page |n°=17/56/17}}<ref>M / T / KP.</ref> Pendant un millénaires et demi, ce système était à la base de l'art de guérir. Néanmoins, au début, il n'était certainement pas complètement détaché de l'esprit hippocratique : c'est-à-dire, dans son application, ce "système" a été traité avec beaucoup plus d’attention sur les aspects susmentionnés de cette école qu’il ne l’était plus tard.
|rowspan="2"|{{Page |n°=?/53/?}} L'essence de la physiologie et de la pathologie galéniques est la doctrine des quatre fluides (humeurs) : le sang, le flegme, la bile jaune et la bile noire. Les différents mélanges (tempérament de temperare = Mizschen) des fluides déterminent l'état de santé de l'individu. Cette doctrine elle-même, ainsi que celle des 4 éléments (feu, eau, terre, air), des 4 propriétés élémentaires (froid, chaud, humide, sec), de la "chaleur réchauffée" du pneuma et de quelques autres, étaient déjà en place dans la conception hippocratique et avaient pénétré dans l'ancienne philosophie. À cela se sont ajoutées les autres idées développées par les écoles post-hippocratiques (Jatrozophisten, Péripatéticiens, Dogmatiques, Hierophilern, Erisostratiern, Pneumaticiens, etc.).
Tout ceci a été développé en une forte curation formaliste, sur la base de la proposition selon laquelle le contraire doit être traité par le contraire, dans lequel des dyscrasies de toutes sortes, selon la qualité élémentaire qui leur est accordée et au que ces intrigues prédominaient, ont été traités au moyen de certains remèdes qui devraient contenir la propriété élémentaire opposée, au degré approprié. L'opium, par ex., était considéré comme sec au 4<sup>ème</sup> année et ne pouvait donc pas être disséminé dans de la fièvre considérée comme sèche ; plus la fièvre est violente, moins il y a de fièvre, etc. Ce médicament était aussi mauvais qu'il semblait formellement inattaquable.
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| L'idée galénique du mouvement du sang dans le corps humain a été la suivante. Avant qu'ils aiment <span style = "color: white;"> espace blanc </ span>, il faut se rappeler que des anatomistes comme Léonard de Vinci et Vésale, des naturalistes tels que Bacon Verulam se sont présentés aux humains de la même manière, et même Descartes peut-être la plus grande méthodologue scientifique d'une génération de grands naturalistes, qui a accepté la découverte de Harvey dans une large mesure seulement pour Guntsen G's.
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| {{Page |n°=17/56/17}} Auf Grundlage dieser und ähnlicher Vorstellungen lebte die Medizin der Araber und Inder fort, die nach dem Untergang des römischen Reiches, die Ausübung der Medizin übernahmen. Die Galenische Medizin war es die hier fortlebte, aber bald in einem scholastischen, bald in einem mystischen Gewende <span style="color:white;">white space</span>. Es ist bekannt, dass die Original Texte des Klassiker bald verloren gingen und dass auf Grund der endlos glossierten Texte, die immer falscher und falscher wurden, eine ganze Reihe von schier unverständlichen Streitfragen die Köpfe der Mediziner beherrschten. Die angewandten Heilmethoden waren immer mehr spekulativen Auslegungen der verschiedenen iatroscholastischen und iatrosphistischen Schulen entnommen, die sich zuweiler auf die dogmatische, oder auf die methodische oder irgendeine andere der nachhyppokratischen Schulen berief, oder alle Theorie ablehend sich kurzerhand “Empiristen” nannten. Gewiss waren diese Heilmethoden keine nützlichen, wie waren sogar gewiss schädliche. Nur sehr wenig sind die Heilmittel die richtig angewendet worden sind. Sie war aber dennoch im allgemeinen keine bösartige <span style="color:white;">white space</span> und <span style="color:white;">white space</span>. <u>Denn dazu fehlte es ihr Autorität.</u> Der Arzt war soviel wert, wieviel seine Kunst wert war. Und das ist die Wirkliche Ursache dessen, dass trotz ihrer extravaganten Ignoranz, spitzfindiger Verschrobenheit und philologischem Abrakadabra diese Medizin kaum Spuren in der Kulturgeschichte dieser Periode hinterlassen hat. Nur Fürsten hielten sich Ärzte, aber auch der sich einen Arzt hielt liess sich von ihm malträtieren. Dazu fehlt der Glaube. Das Volk aber wendete sich, wie immer an die Barber, die in Mitteleuropa oft nicht nur mit dem Chirurgen, sondern auch mit dem Arzt zusammen <span style="color:white;">white space</span>, oder an Quacksalber, die ihre historische Langlebigkeit offenbar daher beziehen, dass ihre Mittel, die wohl selten nützen, ebenso selten ernsten Schaden anrichten. -Diese kurze Kennzeichnung einer langen und vielfältigen Kulturenwickelung, versucht kein treues Bild von dieser zu bieten, sondern nur das Hauptmerkmal der Periode von unserem Gesichtspunkte aus anzugeben.
|{{Page |n°=17/54/17}} Auf Grundlage dieser und ähnlicher Vorstellungen lebte die Medizin der Araber und Juder fort, die nach dem Untergang des römischen Reiches, die Ausübung der Medizin übernahmen. Die Galenische Medizin war es die hier fortlebte, aber bald in einem scholastischen, abls in einem mastischen Gewnde vehrämt. Es ist bekannt, dass die Original Texte des Klassiker früh verloren gingen und dass auf Grund der endlos glossierten Texte, die immer falscher und falscher wurden, eine ganze Reihe von schier unverständlichen Streitfragen die Köpfe der Mediziner beherrschten. Die angewandten Heilmethoden waren immer mehr spekulative Auslegungen der verschiedenen iatroscholastischen und iatrosphistischen Schulen entnommen, deren Hauptwaffen Grammatik deren Hauptwaffen Grammatik und Philologie waren und sich zuweilen auf die dogmatische, oder auf die methodische oder irgendeine andere der zahlreichen nach Hippokratischen Schulen berief, oder alle Theorie ablehnend sich Kurzer Hand “Empiristen” nannten. Gewiss waren ihre Heilmethoden keine nützlichen, ei waren sogar gewiss oft schädliche. Nur sehr wenig sind die Heilmittel die richtig angewendet worden sind. Diese Medizin war aber dennoch im allgemeinen keine bösartige und painingende. <u>Denn dazu fehlte es ihr Autorität.</u> Das ist die wirkliche Ursache dessen, dass trotz ihrer extravaganten Unwissenheit Spitzfindigen Verschrobenheit und philologischen “Abrakadabra” diese Medizin tieferen Spuren in der Kulturgeschichte dieser Periode hinterüausen hat. Nur Fürsten hielten sich Ärzte, aber auch der sich einen hielt, liess sich von ihm misshandeln. Dazu fehlt es an Glauben. Der Arzt war soviel wert wieviel seine Kunst wert war. Das Volk aber wendete sich, wie immer an die Bader, die in Mitteleuropa oft nicht nur mit dem Chirurgen sondern auch mit dem Arzt zusammenfielen, oder offenbar daher beziehen, dass ihre Mittel, die wohl sehr selten nützen, ebenso selten einen ernsten Schaden antichten. -Diese kurze Kennzeichnung einer langen und vielfältige Kulturentwicklung, die sich räumlich wie zeitlich bunt gliederte, will kein treues Bild von dieser zu bieten, sondern nur das Hauptmerkmal von der Epoche von unserem Gesichtspunkte aus deutlich anzugeben.
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Galileo Galilei's mechanische Untersuchungen sind der Ausgangspunkt jener Umwählzung die Jahre später zur Entdeckung des Blutkreislaufes durch Harvey führten. Galilei's experimentelle Methode schaffte in Italien eine Schule exakter Anatomen an deren Spitze Vesalius steht. Borelli und Sanctiorio führten die mathematisch-mechanistische Methode auf dem Gebiete der Physiologie weiter und erzielten Ergebnisse von der allergrössten Bedeutung. Dieselbe Methode war es die Harvey bei seinen Forschungen führte und damit zur grössten Entdeckung die die Wissenschaft von Menschen ja geleistet hat. Die philosophischen und methodologischen Ergebnisse wurden frühzeitig von Descartes in eine neue Weltanschauung gefasst, die als die mathematische Methode die führenden Geister dieser so grossartigen Periode beherrschte. Bacon's allgemeinere und unvoreingemommere Grundlegung der empirischen Methode kam daneben langsamer und erst allmählich zur Geltung.
 
Die Alchemisten, mit Baselius Valentinus und Paracelsus an der Spitze sind die Vorläufer der experimentellen Chemie. Zuerst suchten sie den Stein der Weisen um damit Gold zu schaffen, später um die Gesundheit und das Leben der Menschen zu erhalten. Ihre falschen Zicle führten sie zur richtigen Methode der experimentellen Chemie und so <span style="color:white;">white space</span> und verworren ihre chemischen Vortstellungen auch waren, so waren sie doch eine unendlicher Fortschritt gegenüber der sophistischen und scholastischen Chemie der Arabisten. Van Helmont folgte diesen Spuren, zum Teil mit exakten Methoden, und wurde der Entdecker der “Gase”. Jetzt gewannen auch die drei Elemente der <span style="color:white;">white space</span> (Paracelsus, etc.) Autorität und Geltung. Bis zum Ende des XVIII Jahrhunderts blieb es also bei der Alchemie (Trotz Boyle, Meadlow, Stahl und Priestley).
 
Umtürzend war die Wendung die das XVII Jahrhundert brachte. Physik, Chemie und Physiologie hatten wahre Wunder geschaffen. Galilei, van Helmont und Boyle, Borelli und Harvey hatten den Umkreis der Herrschaft des Menschen über die Natur zur ungeahnten Ausdehnung gebracht.<ref>"Bacon und Descartes waren erstauden.“ [55]</ref> Die Philosophie, Erkenntnisstheorie, Ethik, Psychologie und Politik der Zeit waren von den neuen Möglichkeiten beherrscht.<ref>”Die System von Gassendi und Hoppes waren tief vom Geiste der neuen Naturwissenschaft beinflusst.“ [55]</ref> Descartes hatte den Satz aufgestellt, das Sein und alle seine Erscheinungen in der Natur seien nichts als Bewegungen materieller Teile und hatte die Beschreibung des Fühlenden, handelnden Menschen als einer Maschine gegeben, die er mit allerdings willkürlichen physiologischen Vorstellungen ausstattete, aber mit keinen, die nicht im Bereiche der Möglichkeiten gelegen wären.
 
Mit fieberhaftem Eifer ging man daran die neuen Errungenschaften für die Medizin zu verwerten. Die besten Köpfe, Naturforscher und Mediziner in einer Person, gingen an die Arbeit und in Bälde war eine neue Medizin geschaffen, eine Medizin von ungeahnter Autorität, der man blindlings folgte und die das ganze Wissen ihrer Zeit in den Dienst der Menschheit stellten.
 
{{Page |n°=20/59/20}} Sehen wir zuerst die praktischen Ergebnisse dieser grossen Geistesbewegung:
 
Wie war es so weit gekommen? Wie konnte die Frucht der besten Geister zu einem Gifttrank für die Menschheit gebraucht werden? Wo ist der Schlüssel zu dieser grossen Niederlage?
 
Das erste Ergebnis der freudigen Verblüffung und des Stolzes, der die Forscher nach der Entdeckung Harvey's erfüllte, war eine scheinbar selbstverständliche: Die Medizin, wie sie bis dahin bestand, wurde in Bausch und Bogen verworfen. Eine Praxis die sich auf Galenische Vorstellungen aufbaute, konnte nichts für eine Zeit besagen, die das Grundgesetz des menschlichen Haushaltes entdeckt hatte. Hippokrates, der nicht einmal Galenische sondern wahrscheinlich garkeine Vorstellungen von der Bewegung des Blutes hatte, kam nicht mehr in Betracht. Damit waren nicht nur die Arabisten, sondern auch die viel gemässigteren Galenisten klassischer Art, verworfen, -was allerdings keine grosser Schaden war. Es war damit auch die Geistesrichtung des Hippokrates, das der unvoreingenommen neuen Beobachtung, der abwartenden und milden Behandlung, das wahrhaftig medizinische Prinzip auf lange verschüttet.
 
An ihre Stelle trat die Anwendung der physikalischen und chemischen Erkenntnis auf die Heilkunst. Die grossen Schulen der Iatrophysiker und Iatrochemiker traten mit Übermacht auf und beherrschten bis zur Mitte des XVIII Jahrhunderts die Medizin.
 
Wir beschränken uns darauf hier jene Persönlichkeiten und ihre Forschungsergebnisse anzuführen die ein charakteristisches Licht auf diesen grossen Process werfen können: Die Entdeckung transpiration inperceptibilis durch Santorio und die Sylviussche Fermentationslehre für die Iatrochemie.
 
 
{{Page |n°=x/59/21}} Es ist uns schon klaar, warum die Anwendung dieser und ähnlicher Erkenntnisse auf die Medizin verhängnisvolle Folgen nach sich ziehen musste:
# Der Stand des Wissens war noch viel zu gering, um die richtigen Grenzen, ja sogar die eigentliche Bedeutung der aufgedeckten Zusammenhänge zu begreifen. Die Tatsache allein, dass die wissenschaftliche Chemie noch nicht existierte, machte jede physikalische Vorstellung für den menschelichen Organismus zu einem grossen Irrtum, ebenso aber auch die Anwendung s.g. chemiatrischer Vorstellungen.
# Nur die genaue Beobachtung hätte ergeben können, ob die Anwendung empfohlenen Mittel zuträglich oder abträglich sei. Zu einer deartigen Beobachtung waren die Geister zu voreingenommen.
# Der einzig richtige Standpunkt, die Medizin auch weiter vollständig losgelöst von den Errungenschaften der Physik, Chemie und Physiologie zu betreiben, verstiess gegen die Autorität dieser neuen Wissenschaften und konnte gegen die Versuchung, aus diesen Erkenntnissen einen Vorteil für die leidende Menschheit zu ziehen, nicht widerstehen.
# Der wesentlichste Fehler aber war, dass man übersah, dass so viel man auch über allerhand Zusammenhänge der Naturerscheinungen in Erfahrung gebracht hatte, man über eigentliche Wesen des Lebens, der Gesundheit und Krankheit nochgerade so wenig wusste, wie vorher. Diese Erkenntnis allein hätte genügt um, falls man an ihr nur zäh festgehalten hätte, alle Verfahren ausser den rein medizinischen, aufzugeben. Sie hatte die grosse Leistung vollbracht, auf die es hier {{Page |n°=22/60/22}} ankam, alle Anwendungen durch energische und aktive Skepsis grundsätzlich abzulehnen.
 
Erst die unvergleichlich ausgedehnten Untersuchungen und Wissensstand der heutigen Naturforschung haben zu dieser weitgehenden Skepsis geführt und der Menschheit eine Heilkunde gegeben, die zumeist unschädlich ist und in vielen Fällen grossen Nutzen stiftet. Der übermässige Glaube der Masse an dieses neue Heil, das schwere und allgemeine Schäden für die geistig-sittliche Existenz der Zeit zur Folge hat, ist kein Verschulden medizinischer Wissenschaft. Sie ist bloss der Gegenstand, nicht aber die wesentliche Quelle des modernen medizinischen Aberglaubens.
 
Es muss eine der vornehmsten Bemühung der <span style="color:white;">white space</span> sein, die s.g. Wirtschafts und Sozialwissenschaft, die noch in der Phase der Iatrochemie und Iatrophysik steht, daran zu hindern, die Notlage der leidenden Gesellschaft zu so wüstem Unfug zu misbrauchen, wie es auf dem Gebiete der körperlichen Leiden unseren Vorfahren nicht erspart geblieben ist. Denn Lange wird es noch daueren, wenn wir die Möglichkeit einer solchen Entwickelung zugeben, bis diese Wissenschaften ihre eigenen Grenzen erkennen ud sich mit ihren erkenntnismässigen Aufgaben bescheiden. Bis dahin könnte die Menschheit am kriegerischen und revolutionären Aderlass längst verblutet sein.
 
{{Page |n°=23/61/23}} An dem Beispiel der Medizin haben wir es aufgezeigt, dass das Aufdämmern einer neuen Wissenschaft, wie es die der Naturerkenntnis war, für die Menschheit von den traurigen Folgen begleitet sein kann. Sie muss jedes Mal von diesen Folgen begleitet sein, wenn die pratkischen Anwendungen mittels eines Kurzschlusses geschehen, den die Mangelhatigkeit der theoretischen Erkenntnis erst möglich macht, gleichzeitig auch zu notwendigerweise irrigen Folgerungen hinleiten muss.


Es handelt sich aber hier um mehr eine Parallele zwischen den Anfängen der Naturlehre und der Soziologie in ihren Wirkungen auf praktische Heilmethoden: dort die leiblichen Übel der Einzelnen, hier die leibliche Übel von Massen. In Wirklichkeit entsprang die Soziologie auch einer der voreiligen Anwendungen derselben Naturlehre, die die verhängnisvolle Medizin des XVII und XVIII Jahrhunderts an Schuldkonto hat.


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Das erste Sozialphilosophie System, das physiokratische, entstand unter unmittelbarer Einwirkung der Naturwissenschaften ihrer Zeit als eine Übertragung der Erkenntnis allgemeiner Gesetzmässigkeit in der Natur auf die Verhältnisse der menschlichen Gesellschaft. Ein {{Page |n°=24/62/24}} Jünger Quesnay's, Dupont de Nemours, schildert in seiner REde auf folgende Weise die Beteudung der neuen Lehre: _________. Und der Sekretär der Akademie der Wissenschaften, der Astronom de Fouchy, sprach in seien Eloge funebre die Folgende Worte: _________________. So entstand die Theorie der ordre natural, einer der nach mathematischen Gesetzen alle Verfügungen der Regierung, die ordre politique, ziffernmässig abzuleiten seien. Diese schon bei Quesnay materialistische Gesellschaft und Geschichtsauffassung, wurde durch Comte und Marx zu einer deterministischen. Die <span style="color:white;">white space</span> und Darwin's Kampf um's Dasein, waren die weiteren Erkenntnisse der mathematisch- wissenschaftlichen Methode die zur organischen Auffassung der Soziologie führten. Die Geschichte der Soziologie ist bis auf unsere zeit kaum mehr als eine zwangläufige Übertragung naturwissenschaftlicher Erkenntnisse auf das gesellschaftliche Dasein der Menschen. -Dies ist jene “Wissenschaft” von der die Menschen unmittelbare Anwendungen für ihre <span style="color:white;">white space</span> Probleme suchen und die Berufung auf welche sie als eine “Wissenschaftliche”, also “höhere” Art der Politik gelten lassen wollen.


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Als die vornehmste dieser soziologischen Schulen gilt auch heute noch die marxistische. Die materialistische Geschichtsauffassung und die im Kommunistischen Manifest und in Engel's “Von der Utopie der Wissenschaft” verkündigten Prophezeiungen und der dort vorgezeichnete Weg zu dem gelobten Land dieser Prophezeiungen zu gelangen, geniessen auch heute noch, Dank der umfassendden Unkenntnis der Führer von den Fortschritten des kritischen Denkens seit jener Zeit, eine Autorität bei den Massen, die nicht geringer ist, als es die der Iatrophysiker und Iatrochemiker zur Zeit des XVII und XVIII Jahrhunderts waren.


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{{Page |n°=25/62/25}} Die Voreingenommenheit für diese Lehren und Auschauungen ist so gross, dass keine Miserefolge, die die Menschheit erleidet, die Augen zu öffnen vermag um ihre Irrigheiten einzusehen. Wie einst so wird auch heute jeder Miserfolg entweder der nicht genügenden Anwendung der empfohlenen Mittel oder einfach dem Zufall zugesprochen.


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Der gesunde Menschenverstand, diese einzige Grundage aller Skepsis, ist ganz in Ungrade gefallen. Es ist ja wahr, in der Wissenschaft soll und wird er durch schärfere und bessere Denkmethoden ersetzt. Wie aber soll man sich darüber klaar werden. <u>ob</u> man einer Wissenschaft oder nur dem Schein einer solchen gegenüber steht? Dazu ist nur der gesunde Menschenverstand fähig und der wird eben ausgeschaltet. Aus dem falschen Zirkel gibt es kein Entrinnen mehr.


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<u>Die einfachste Erfahrung zeigt, dass wir heute nicht mehr als vor zehntausend Jahren einer Vorhersage auf dem Gebiete der Geschichte fähig sind.</u> Diese Tatsache ist unwiderleglich und sollte von entscheidender Bedeutung sein. In Wirklichkeit ist sie es nicht, denn unsere wissenschaftliche Voreingenommenheit hindert uns daran eine so einfache Tatsache des gesunden Menschenverstendes überhaupt zu bemerken, geschweige denn ihr ein Richteramt über alle unseren Spekulationen und Theorien einzuräumen.


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{{Page |n°=26/63/26}} Und dennoch ist ein Rückblick auf die letzten Jahre nicht offenbarer als, dass die Art und Weise wie die Welt verläuft von uns nicht vorhergesehen werden kann. Man mag sie zuweilen erraten, nie aber mit <span style="color:white;">white space</span> Methoden vorausbestimmen. Seit dem Ausbruch des Weltkrieges, einem Ereignis in dem wir noch mitten drin sind und von dem wir ebendarum noch nichteinmal wissen können, was es ist, vermag jeder, der sich Rechenschaft über sein eigenes Denken zu geben imstande ist und den Mut hat, dieses zu tun, bündig einstehen, dass unsere Vorstellungen von der Zukunft stets andere waren als wie sich diese Zukunft erwiesen hat. Die Schwäche des menschlichen Gedächtnisses, die uns ebenso anhaftet, wie die Schwäche der Vorstellungsgabe, die uns dazu verhilft die Leiden anderer heldenhaft erdulden zu können, -diese Schwäche unseres Gedächtnisses täuscht uns allerdings sehr oft über das Bild das wir von der Zukunft innehaben, - bevor diese zur Gegenwart wird. Diese Verschwommenheit, Verworrenheit und die widerspruchvolle Art unserer Hoffnungen und Befürchtungen ist die zweite Ursache aus der uns leicht so scheint, dass das was kam, “unwesentliches” oder “im Grossen und Ganzen,” oder “unter veränderten Umständen”, eben das ist, was wir <u>auch</u> erwartet hatten. So vermag der naive {{Page |n°=27/64/27}} Mensch sich leicht darüber hinwegtäuschen lassen, dass die Ereignisse hier stets so unerwartet kamen, als ob es nie eine soziologische Wissenschaft gegeben hätte.


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Eine bedeutend grössere Summe von Voreingenommenheit gehört allerdings dazu, wenn sich geschulte Köpfe und denkerisch verantlagte Geister über diese einfache, nackte Tatsache, ebenso leicht hinwegtäuschen lassen. Allerdings: ihre Schulung und ihr Denken ist eben kaum anders als die Schulung in den abergläubischen Wahlvorstellungen ihrer Sektenpropheizungen und ihr Denken ist nichts als die unkritische und unwissenschaftliche Verallgemeinerung dieser zukunftsbändigenden Methoden auf alles und jegliches. So kommt es dann, wie es immer der Fall ist, wie nicht Wissenschaft sondern bloss Scheinwissenschaft vorliegt, dass der naive geunde Menschenverstande der Wahrheit viel näher steht als das Denken der Sophists und Scholasten.


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Das Gefühl der Verantwortung sollte aber stark genug sein um gegen den Schulgeist aufzunommen. Handelt es sich doch um Menschenleben, nicht nur um jene die durch den Tod geopfert werden sondern um eine unvergleichlich grössere Anzahl von Menschenleben derjenigen, die den Weg zum gelobten Lande ihrem Lebensweg machen und über deren ganzes Leben, Trachten und Wollen so entschieden wird.


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{{Page |n°=28/65/28}} Die Marxisten sind es hauptsächlich die es heute den Iatrophysikern und Iatrochemikern am meisten nachtun. Ihre Heilmethoden begründen sich auf eine Reihe von Voraussagungen die wie sie es nennen “sowieso” eintreten werden. Dieser Ausdruck ist die <span style="color:white;">white space</span> für die Naturwendigkeit jener Prophezeiungen, mit dem Glauben an welche, sie diese aber erst wahrmachen wollen. Sie tun so, wie der geriebene Geschäftsmann, der zur Gründung einer Aktiengesellschaft mit dem Argumente überredet, dass die Sache “auch ohne ihn gemacht werden” würde. Er weiss genau, dass er jedes Mitglied mit diesem Arguments gewonnen hat, fühlt sich aber des Gelingens dieses Unternehmens so gewiss, dass er diese <span style="color:white;">white space</span> ruhig auf's Gewissen nimmt. Zum Schluss, vor lauter Wiederholung derselben Sqche und Wendungen, mag er selbst an diesen naturnotwendigen Zustande kommen seiner “Sache” zu glauben. - In Wirklichkeit ist weder ihre Wahrheit, noch Notwendigkeit durch all das viele Wiederholen gewisser oder fester geworden.


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Es schleichen sich auf diese Weise Begriffe und Vorstellungen in die Köpfe der Menschen ein, die zu den grössten Hindernissen der Lösung jener Fragen werden, die für das unvoreingenommene Denken in Wahrheit vorlägen. Das scholastische System hat die verhängnisvolle Eigenart sein Gran von Wahrheit unter einem Turm von Irrtum zu begraben. Dieser {{Page |n°=29/65/29}} Turm von Irrtum ist es, der dann die Blicke anzieht, und das Gran von Wahrheit ist es, dass immer verschüttet bleibt.


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Wir wollen nur in einem einzigen Beispiel darlegen, wie die <span style="color:white;">white space</span> Folgerungsweise diese Krebsschäden aller rein spekulativer Erkenntnis in den Wirklichkeitsgebieten, um sich greift und sich behauptet.


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(Das Beispiel von der Milch u. der Säure)


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Warum haben sich diese hellen Köpfe, diese an Bacon und Descartes geschulten Geister nicht gesagt: 1) all dies ist bloss möglich, aber darum noch nicht wahr; 2) dieser Möglichkeit stehen andere Möglichkeiten unabsehbarer Zahl gegenüber. 3) Der Wahrheit dieser Möglichkeit stehen aber auch sehr viele Wahrheiten entgegen und endlich; 4) warum sollten wir die Art und Weise wie wir den kranken Menschen, seine Krankheit und die praktisch bewährtesten Heilverfahren ohne Spekulation aufzufassen gewohnt sind, <u>aufgeben</u>, ohne die Gewähr dafür etwas besseres zu haben?
 
Sehen wir einmal zu, wie auf Grund der heutigen soziologischen Wissenschaft z.B. die Marxisten folgenn:<br />
Heute herrscht Elend. Dieses heute ist der Kapitalismus. Was ist Kapitalismus? Das was an dem Wirtschaftssystem neuer ist und früher darum nicht da war. Was ist das? Das ist: Markt, freie Konkurrenz, {{Page |n°=30/66/30}} freies Verfügungsrecht über die Produktionsmittel. Was ist daher zu tun? Wir müssen den Markt, die freie Konkurrenz und das Verfügungsrecht über die Produktionsmittel abschaffen. Dann wird es kein Elend geben. Niemand fragt, ob nicht vorher vielleicht <span style="color:white;">white space</span> Elend geswen ist? Ob nicht vielleicht grade die Unfreiheit der Konkurrenz, also das Monopol, die Ursache des Elend sei? Ob man den Markt abschaffen kann? Ob nicht neue, viel grössere Übel entstehen müsste, wenn man die Freiheit des Menschen aufhebe? Ob diese Dinge, die hier Kapitalismus genannt werden, nicht ganz <span style="color:white;">white space</span> Dinge seien, die zum Teile nichts mit einander, zum Teil nichts mit dem Elend zu tun haben? Ob derlei Dinge, wie die, von denen hier die Rede ist, überhaupt mit einfachen Willensbeschluss abgeschafft werden könnten? Und ob das andere was dann sein würde, uns heute klaar genug sein kann um es diesem vorzuziehen? Ist es uns aber nicht klaar genug, warum nicht <span style="color:white;">white space</span> Wege, die uns klaar sind, daher zu beschreiten seien, als solche die es nicht sind? -Es gibt unzählige Fragen, die bedenken System als blosse Willkürlichkeit erscheinen zu lassen Ebendarum werden sie auch sorgsam unterlassen.


=== La bonne façon de se comporter face au futur ===
=== La bonne façon de se comporter face au futur ===
{{Page |n°=31/67/31}}<ref>Man. / Trans. / KP</ref> Es ist eine auffallende, aber wenig bemerkte Tatsache, dass sich die Wissenschaft, wenn es sich um die Vorhersage der Entwickelung der Gesellschaft handelt, mit Vorliebe die fernere Zukunft zum Gegenstande wählt. Was nach Jahrhunderten eintreten <u>muss</u>, gibt sie vor mit Bestimmtheit zu wissen, was aber morgen sein wird, darüber weiss sie nicht mehr, als der einfachste und “ungebildete” Mensch. Darum haben wir die wissenschaftliche Prophezeiung dessen, was sich in gesellschaftlichen Dingen sowieso ereignen wird, (und mehr als eine Wahrscheinlichkeit hierfür, kann nie bestehen), ganz ausser acht zu lassen. Denn diesen Wahrscheinlichkeiten gegenüber, von der wir uns zu leiten lassen <span style="color:white;">white space</span> fühlen, steht eine Gewissheit gegenüber, die uns zwar die Zukunft aus sich allein noch nicht beherrschen lässt, aber uns die Gegenwart mehr als alles zu beleuchten vermag und darum auch auf den Weg zur Zukunft ein Licht wirft: das sind unsere Wünsche und Ideale sowie sie sich aus unserem Leben ergeben.
Unsere Wünsche und Ideale rechnen allerdings mit den Tatsachen, denn sie entspringen ja zum Teil aus ihnen. Und gewiss gehört zu diesen Tatsachen das was wir für nächste Zukunft mit Wahrscheinlichkeit vorhaussehen. Es ist also nicht abzustreiten, das wir uns dem Einfluss der Voraussicht nicht zu entziehen vermögen.
Dies ist auch mit obigen nicht gemeint. Der Hunger von morgen ist die Ursache der <span style="color:white;">white space</span> von heute und die Voraussicht dessen das wir einst auch alt werden, ist vielleicht eine der Hauptursachen warum uns schon heute das Alter verehrungsbedürftig erscheinen muss. Diese Voraussicht ist aber keine wissenschaftliche, sie hat keine {{Page |n°=32/68/32}} Voraussetzungen, die nicht die des  täglichen Lebens wären, sie bleibt in allem und jeglichem innerhalb des Bereiches des gesunden Menschenverstandes. Sie unterscheidet sich wesentlich von jener Art der Voraussicht die sich die Soziologie oder die Wirtschaftslehre anmaasst.


{{Page |n°=67/26}}
Keine Erkenntnis <span style="color:white;">white space</span> oder philosophische, sondern eine praktische Untersuchung haben wir versprochen: die Unterscheidung zwischen Wissenschaft und Alltag ist klaar genug um jedem praktischen Zweck zu genügen.


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Haben wir einmal eingesehen dass wir nur die Wahl haben uns entweder der Wissenschaft der Zukunft zu überantworten und unsere Wünsche und Ideale nach ihren Rathschlägen und Richtlinien zu richten, oder aber an unseren auf dem Wege in ihrer Verwirklichung zu entraten, -so haben wir die Alternative so gestellt, wie sie in Wirklichkeit vorliegt. Denn der Mensch der sich in dem phantastischen und doch so logisch scheinenden Reiche der Zukunft, die ihm die spekulative Soziologie eröffnet, ein Heim gefunden hat, muss unabweislich und unbedingt an seine ursprünglich <span style="color:white;">white space</span> Wünschen und Idealen <span style="color:white;">large white space</span>, - er ist in der Zukunft daheim, aber in der Gegenwart seines eigenen Lebens ist er immer mehr ein Fremder.


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{{Page |n°=33/68/33}} Hat der Mensch aber einmal den Sinn seiner eigenen ursprünglichen Wünsche nicht mehr inne und beleuchten ihm seine Ideale nicht mehr das Dasein, so dass er ihren Sinn begreifen und festhalten kann, - so ist für ihn alles verloren. Denn unsere Wünsche und Ideale, sie können uns im dunkelsten Dunkel leiten und begleiten, denn es strahlt von ihnen eine Leuchtkraft aus die keine Finsternis ausschliessen kann, der Mensch aber, der nicht mehr fühlt und weiss, dass er Sinn des Weges den er geht, in ihm selbst und nur in ihm selbst lebt, muss notwendig irre gehen und wenn eine ganz andere Soziologie und ganz andere Wirtschaftslehre als die der heutigen und Obskurantisten, ihm die Wege weisen wollten.


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Die Gefahren die durch das Abweichen von unserem natürlichen Lichte zu Gunsten künstlicher Beleuchtung, in der die Wissenschaft die Zukunft erstrahlen lässt, aufgebschowren werden, sind viel grössere als es der Verzicht auf die Geheimmittel der gesellschaftlichen Kabbalistik, die wir Soziologie nennen, im Gefolge haben:<br />
Es scheint denen, die sich unter der Suggestion des Bolschewismus befinden, ganz einleuchtend dass, alles was heute ist shlecht ist, und wert das es zugrunde geht. Mit grösster Unhefangenheit gehen sie daher daran ein Gesellschaftswesen mit Gewalt zu errichten, das auf der Überwindung des individuellen Einzellebens, auf dem gemeinnützigen Zwang und auf einem unabsehbaren System von Centralismus und Staatsmacht aufgebaut ist. All dieses natürlich nur als Vorläufiges, -der Endzustand soll ein ganz anderer werden, offenbar ein solcher, der den Wünschen und Idealen der Menschheit besser entspricht.


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Diese Wünsche und Ideale sind also auch in diesem Gedankengang nicht gänzlich zu vermeiden. Sie sind nur vorläufig ausser acht gelassen. Das praktische Vorgehen und die praktische Wirklichkeit für eine Generation zu der gesprochen wird, und dessen Lebensdauer mithin beansprucht wird, soll aber grade auf der vollkommen Ausschaltung und un<span style="color:white;">space</span> dieser Ideale beruhen. In der Praxis bedeutet das: die systematische Verabsetzung, Verhöhnung und Leugnung dieser Ideale und Wünsche soll solange betrieben werden, bis sich die Menschen dazu verstehen sie für ihre Lebensdauer zu der <span style="color:white;">white space</span>, allerdings nur um sie für eine spätere Generation in Wirklichkeit umzusetzen. Bei diesem Lichte besehen, erscheint allerdings nicht nur die Theorie, sondern auch die Praxis der heutigen Iatrophysiker and Chemiker, schon in ihrer Vorbereitung zur eigentlicher Kun, so abtrus und grotesk, dass man kaum zu glauben vermag, das es das ist, was sie tun und vorschlagen.


{{Page |n°=35/70/35}} Wie gross ist doch unter diesem Umständen die Gefahr, dass die wirklichen Wünsche und Ideale der Menschen, <span style="color:white;">white space</span> selbst die <span style="color:white;">white space</span> Kommunisten stehen, ganz andere sind, als sie die Suggestion einer so <span style="color:white;">very large white space</span> Propaganda erscheinen lassen muss. Ist es doch gewiss, dass sich der Mensch eine zeitlang über seine eigenen Wünsche täuschen lässt, wenn nur die Suggestion die die Täuschung bewirken soll, gross genug ist.
Die Folgen eines derartigen Vorgehens müssen aber notwendigerweise verhängnisvolle sein. Denn die Wünsche und Ideale der Menschen, lassen sich bloss zeitweilig verdunkeln, nicht aber endgültig unterdrücken oder gänzlich auslöschen. Die Kriegssuggestion hat auch nicht ewig gedauert und heute wäscht sich die Menschheit von den Spuren die das Stahlbad<span style="color:white;">space</span> des Krieges auf Leib und Seele hinterlassen haben.
Die Bolschewisten setzen also ihre systematische, von wissenschaftlicher Quacksalberei und revolutionärem Bühnenlicht eindrucksvolle gestaltete Hetze gegen die niedrigen Triebe des kapitalistisch <span style="color:white;">white space</span> Menschen fort: Freiheit des Geistes, Freiheit der Persönlichkeit, Freiheite vom Staate, Freiheit von der fremden {{Page |n°=36/71/36}} Einmischung in Heim und Hof, freies Leben auf freier Scholle, freie <span style="color:white;">white space</span> meiner eigenen Kräfte und freie Wahl der eigenen Ziele. -Wo ist  der Gewähr, dass sich die Menschheit nicht wirklich täuschen lassen könnte und dass sie nicht zeitweilig durch die Kneipkur dieses neuen Stahlabdes gegangen, wieder “umlernen” könnte und, wie im Kriege, sich eine zeitlang dem Wahne hingeben könnte, sie habe sich in ihren bischerigen Idealen geirrt und das die neue Lehre des roten Militarismus das wahre und richtige sei?
Tritt aber dieser Fall ein, so ist alles verloren. Denn nichts ist gewisser, als das die Menschen garbald aus dieser Hypnose erwachen müssten und fänden sie dann nicht die versprochene neue Welt vor, so wäre es nur zu bald um jenes Gemeinschaftsgeschehen, zu dem man ihr die Zusage im Wachtraum einer Massenhypnose abgelockt hat. Mit welch alles zersprengender Elementarkraft würden sich nicht wieder die Menschen ihrer eigentlichen Wünsche besinnen, wie würden in dem Dunkel der Verirrung ihre ursprünglichen Ideale aufleuchten und die Papiermache Umwelt einer unwirklichen Kulissenwelt in Flammen aufgehen lassen -Welcher Leidensweg aber bis dahin, und welche Leidenswelt nachher.-


=== Toute l'ampleur de la responsabilité… ===
=== Toute l'ampleur de la responsabilité… ===
{{Page |n°=72/86/37}} Die ganze Grösse der Verantwortung aber die die Möglichkeit eines solchen Laufes der Dinge in sich schliesst, sollte doch jedem, dem das Schicksal der arbeitenden Klassen am Herzen liegt und die die unbedingte Notwendigkeit die empörende Ungerechigkeit der heutigen Umstände und ihre planlose Verworrenheit, die alles in ihrem Umkreise qualvoll und sinnlos <span style="color:white;">white space</span> gestalten muss, zu ganz anderen Zuständen umzugestalten, klaar eingesehen hat, mehr als jedem anderen, dieser ungeheuren Verantwortung müsste diesem in seiner ganzen Grösse bewusst werden.
Denn würde es zur Wahrheit werden, dass die Menschheit <span style="color:white;">white space</span> Bolschewistischen <span style="color:white;">white space</span> sollte und, was, die unabweisliche Folge dann sein würde, -sollte sich dann Arbeiterklasse im Namen ihrer alten Werte und Forderungen, diesen Versuch in Stücke schlagen, dann hätte für alle Freiheitskämpfer des Proletariats die letzte Stunde geschlagen. Eine Klasse die freiwillig zu dem früheren Kapitalismus zurückkehren würde, zurückkehren unter jenen Schlagworten und Idealen die ihnen die Kommunisten als die Ideale der ausbeuterischen Bourgeoisie zu kennen gelehre haben, eine solche Klasse wäre nicht nur physisch und moralisch <span style="color:white;">white space</span>, sondern auch geistig und sittlich entwaffnet auf unabsehbare Zeit wehrlos der ärgsten Siegesherrschaft der Reaktionären aller Länder ausgeliefert. Sie hätte die <span style="color:white;">white space</span> Schlacht verloren und kein Mittel würde es geben, ihre endgültige Versklavung aufzuheben. Nicht würde sie die Kraft in sich finden neu den Kampf aufzunehmen, denn sie hätte sich durch diese Wendung ihren Geschickes allen Anspruch auf Selbstgefühl und auf eigener Bestimmung verloren.
{{Page |n°=?/86-87/38}} Die arbeitenden Klassen waren zumeist -aber nicht immer!- der Herrschaft der Gewalt oder des allmächtigen Kapitals unbewusst. Dieser Zustand müsste auf unabsehrbare Zeit fortdauern, wenn die Ideale der Freiheit und der persönlicher Würde, diese allgemeinen Güter der Menschheit, durch einen <span style="color:white;">white space</span> Prozess <span style="color:white;">large white space</span> wie es erst die <span style="color:white;">white space</span>, dass die <span style="color:white;">white space</span> wäre, zu den Machtsymbolen der kapitalistischen Herrschaft auf ewig gestempelt würden. Was heute nicht wahr ist und was zu behaupten nur bolschewistiche “Übergangs-Taktik” ist, dann würde es zur Wahrheit geworden sein: Freiheit und Würde der Persönlichkeit, sie wären durch das Vorgehen der Arbeiterklasse selbst zu dem geistigen <span style="color:white;">white space</span> der kapitalistischen werden. Durch einen solchen gänzlich unwahren, ungerechtfertigten Schein, müsste sich die Klassenherrschaft einer Gruppe, der die Arbeiterschaft selbst die wirksamsten Mittel der geistigen Knechtung zugesprochen hat, unabsehbar <span style="color:white;">white space</span> aufrechterhalten. Wie der Feudalismus sich durch das <span style="color:white;">white space</span> auf den geistig-sittlichen Inhalt der Religion durch ein halbes Jahrtausend halten konnte, weil die Kirche <u>ihre</u> Kirche war, so müsste sich der Kapitalismus als <span style="color:white;">white space</span> der Freiheit und der Persönlichkeit geworden, geschmückt mit der Tiara des intellektuellen Pontifikates, auf lange Zeit seine Herrschaft behalten können.
<ref>(IIa reverse side of p. 38) - KPI's translator</ref>Unsere Untersuchung soll mithin eine erkenntnistheoretische noch eine ethische sein. Wir wollen uns weder mit der Frage der Praedetermination oder des gesellschaftlichen Determinismus befassen, noch mit der Frage des Seins und Sollens, als dem Grundproblem der sozialen Weltanschauung <span style="color:white;">white </span> im ethischen Sinn. Denn die Lösung dieser Fragen, obwohl wir sie für uns, nur im <span style="color:white;"> space</span> indeterministschen und idealistischen Sinn beantwortet zu haben, sind nicht die, die die heutige Menschheit von den nächsten und schwersten Folgen ihres falschen Handelns abbringen könnten. Ob “die Zukunft” überhaupt als etwas von unserem Handeln Losgelöstes betrachtet werden kann oder nicht; ob diese “Zukunft”, falls sie so betrachten werden kann, auch so betrachtet werden soll oder nicht ist eine Frage, die wie immer wir sie beantworten, bei dem heutigen Tiefstand geistiger und ethischer Kultur leider nur geringes Verständnis und noch geringere praktische Wirkung haben könnte. Noch weniger Interesse würde würde der Frage entgegengebracht werden, ob derartige Begriffe, wie sie heute unserem Denken auf diesem Gebiete zu Grunde liegen, klaare, sinnvolle und wohlgegründete seien. Nur ein Gesichtspunkt ist es, der möglicherweise, im blinden Aberglauben an das s.g. “praktische” dahinlebende Generation, Gehör und Verständnis zu finden vermag, das ist der rein praktische Gesichtspunkt, in demselben Sinne des Wortes, wie er heute allem gesellschaftlichen Denken u. wollen zu Grunde liegt.
Nicht, dass es keine Zukunft, <span style="color:white;">white space</span> von unserem Wollen gibt. Nicht dass es eine solche für uns garnicht geben soll. Nicht, das ihre Vorhersage nur sehr unbestimmt und allgemein zu sein vermag. Sondern dass die Wissenschaft dieser Zukunft wie sie heute vorhanden ist vernünftigerweise keinerlei praktische Beihilfe für unser Handeln abzugeben vermag soll hier dargelegt werden. Und es soll versucht werden zu beweisen, dass sich jeder Versuch zu einem solchen Unterfangen die praktisch niederschmetterten Folgen haben muss und auch tatsächlich zur Folge hat.


=== La politique doit redevenir une partie du chemin de la vie ===
=== La politique doit redevenir une partie du chemin de la vie ===
{{Page |n°=76/88-89/-}} Die Politik muss wieder zu einem Teil des Lebensweges werden. Im undurchdringlichen Gewirre vom Staats - und Gesellschaftsleben verlieren wir die Spur des einzelnen Menschen. Sobald wir das Gebiet des Gesellschaftsleben und öffentlichen Lebens betreten, verirren wir uns hoffnungslos und unser natürliches Orientierungswesen verlässt uns. Worüber wir keine Übersicht haben, scheint uns fremd, geheimnisvoll und drohend. Wenn wir die Fäden, an denen wir heute hilflos aneinander gekettet sind, entwirrt haben werden und das gemeinsame Leben einfach und <span style="color:white;">white space</span> vor uns daliegen wird, wie eine offene Hand, dann werden wir wieder den Weg des Einzelnen <span style="color:white;">white space</span> verfolgen können und den Mut und den Willen haben ihn zu gehen. Anarchismus und Bolschewismus haben eines gemeinsam: beide wollen sie die Fäden gewaltsam zerreissen, weil sie fühlen, dass die Seele erst frei sein wird seinen Weg zugehen, wenn statt dem Chaos <span style="color:white;">white space</span> wird. Um dieses Ziel zu erreichen opfert der Anarchist die Gemeinschaft und der Bolschewist den Einzelnen. Keines kann geopfert werden, wenn der Lebensweg wahr werden soll. Denn die Menschheitsgeschichte ist nichts als der gemeinsame Lebensweg des freien Menschen. Und gemeinsam muss er sein, wenn er seinen Sinn behalten soll. Nicht Gewalt hat die Fäden des Einzellebens zu zerreissen, sondern Erkenntnis hat sie zu entwirren. Nicht zu vernichten haben wir die Gemeinschaft, sondern sie zu begreifen. Dieses Begreifen, dieses Entwirren vermag nur die Seele, die handelnd tätig ist. Die Politik ist ein Teil ihres Lebensweges.


=== …qui peut être aussi fédéral que central, qu'il s'agisse d'un parlement, d'un congrès ou d'un congrès politique… ===
=== …qui peut être aussi fédéral que central, qu'il s'agisse d'un parlement, d'un congrès ou d'un congrès politique… ===
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Jusqu'à présent, la représentation fonctionnelle des consommateurs et des producteurs a eu lieu sans l'État <span style="color:white;">espace blanc</span> (ce qui implique qu'une représentation de fédération régionale, sur une base locale fonctionnelle sélectionnée, bien plus que l'état s'applique).
Jusqu'à présent, la représentation fonctionnelle des consommateurs et des producteurs a eu lieu sans l'État <span style="color:white;">espace blanc</span> (ce qui implique qu'une représentation de fédération régionale, sur une base locale fonctionnelle sélectionnée, bien plus que l'état s'applique).


=== … Ist nun dieser Erscheinungsfall, der auch für die Naturwissenschaften als möglich… ===
=== …si ce phénomène a été considéré comme possible pour les sciences naturelles, est-ce aussi vraiment le cas pour l’économie et la sociologie ? ===
…Ist nun dieser Erscheinungsfall, der auch für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die theoretische Wirtschaftslehre und Soziologie auch wirklich der Fall?
…Ist nun dieser Erscheinungsfall, der auch für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die theoretische Wirtschaftslehre und Soziologie auch wirklich der Fall?


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Was die Vorhersage der Zukunft……
Was die Vorhersage der Zukunft……


=== Der aller wesentlichste Unterschied ist der, dass wir den Kranken auch ohne Art lassen können… ===
=== La différence la plus essentielle est que nous pouvons laisser le patient sans aucune sorte ... ===
{{Page |n°=84/95/23g}} Der aller wesentlichste Unterschied ist der, dass wir den Kranken auch ohne Art lassen können und zuzuschen vermögen, was sich hierbei ereignet, -die Politik in gewissem Sinne aber keinen Augenblick aufgehoben werden kann, ohne den <span style="color:white;">white space</span> Untergang der Gesellschaft heraufzubeschwören. Die staatlichen Funktionen z.B. sind zum Teil solche, dass die nicht eine <span style="color:white;">white space</span> aufgehoben werden können, ohne dass alles in Nichts auflöse. Es ist daher die Frage: ob es nicht besser wäre die Politik <span style="color:white;">white space</u>, weder gut möglich noch auch versuchsweise zu beantworten. Die Menschheit befindet sich daher in der Lage, als ob ihr der Arzt mit der Krankheit <span style="color:white;">white space</span> wäre, -und das bedeutet, dass die wesentlichste Möglichkeit, die wir <span style="color:white;">white space</span> liegt, nämlich das: Nicht=Tun, -ausgeschlossen bleibt, muss.
 
Der zweite Unterschied ist der, dass Arzt und Patient hier nicht ein und derselbe Mensch sind. Wenn die Menschheit Politik treibt um sich selbst zu heilen, so tut sie wo, wie ein Arzt, der bemüssigt ist sich selbst zu heilen. Gewiss wird dem besten Arzt hierbei die nötige Unbefangenheit und Kaltblütigkeit abgehen und es wäre eine ganz andere Medizin, als die die unsere ist, wenn sie von aller Anfang nur von sich selbst beobachtenden Ärzten gemacht worden wäre, die die Aufgabe gehabt hätten sich selbst zu heilen.
 
{{Page |n°=85/96/23h}} Ebenso wesentlich ist es, dass die Zwecke der Medizin im Grunde feststehen und es sich immer nur um die Mittel handelt, die zu diesem Zwecke führen können. Die Linderung der Leiden u. die Erhaltung der Gesundheit -immer schweben diese dem Kranken und dem Arzte vor. Die Menschen sind aber grade bezüglich des Hauptzweckes den die Gesellschaft hat, nicht immer einer Meinung, sind nicht (leicht?) für neue Zwecke zugewinnen und so ist es mehr eine Wissenschaft der Mittel. An diesem Punkte versagt die Analogie völlig. Für uns bedeutete sie aber nicht mehr als ein Hilfsmittel um an einem <span style="color:white;">white space</span> Beispiel der Vergangenheit aufzusweisen, wie leicht der Menschengeist zu seinem Schaden irren könne u. dass es geistige Mittel gäbe den Gefahren des Irrtums auszuweichen. Das was wir für die Politik vorschlagen soll mit dem Ausdruck <span style="color:white;">white space</span> bloss um eine Reihe von Irrtümern formell <span style="color:white;">white space</span> nicht aber Inhalt nach angegeben werden.
 
=== Il est cependant aussi possible d'appeler une somme de doctrines scientifiques… ===
Il est cependant aussi possible d'appeler une somme de doctrines scientifiques qui ne sont ni dans leur sujet ni dans leurs buts, ni leur méthode ni leurs conceptions, ni leurs points de départ ni leurs résultats d'opinion, si ces doctrines elles-mêmes, et surtout le conflit est menée parmi eux avec une érudition suffisante. Puisque nous ne souhaitons pas contester ce dernier par quelque moyen que ce soit, la question de savoir s'il existe une science économique ou non, comme un simple conflit de mot, nous parait absolument hors de propos.
 
Mais ce n'est pas une science de ce genre: la sociologie et l'économie, au seul sens pratique du terme, nous apparait comme un fait de la plus haute importance, c'est-à-dire dans le sens où la croyance populaire s'accroche à leur existence ; comme une somme de doctrines qui, d'une manière ou d'une autre, peuvent contribuer à diminuer les souffrances de l'humanité en offrant à des individus ou à des groupes de ces indications de comportement utile.


=== 45-47 ===
Nous faisons donc ici une concession significative et nullement justifiable sur l'existence de ces sciences. Pour arriver à l'essentiel de manière plus claire et plus décisive, nous voulons faire comme si nous parvenions à un accord sur la méthodologie, les principes de base de la sociologie et de l'économie. Nous voulons supposer que cela pourrait être réalisé, et que nous réussirions même à obtenir des résultats incontestés dans toute l'étendue du domaine de ces sciences. Car le nœud de la question est de savoir si, à partir d'une telle science des masses rationnelles, on pourrait tirer des indices pour notre vie et notre action. Il semble
Man kann allerdings auch eine Summe von Lehrmeinungen Wissenschaft nennen, die wieder über ihren Gegenstand noch noch ihre Zwecke weder über ihre Methode noch über ihre Begriffe, weder über ihre Ausgangspunkte noch ein einziges ihrer Ergebnisse einer Ansicht sind, wenn diese Lehrmeinungen selbst und insbesondere der Widerstreit unter ihnen mit genügender Gelehrsamkeit geführt wird. Da wir letzteres nun keineswegs bestreiten wollen, so dünkt uns die Frage, ob es eine nationalökonomische Wissenschaft gibt oder nicht, als blosser Wortstreit, ganz und gar unwesentlich.
 
Cette question sur laquelle nous nous concentrons, semble peut-être à première vue paradoxale. Ces sciences sont aujourd'hui pleines de conseils et de directives pleinement pratiques et pratiques au plus haut point, mais elles sont pleines de biais idéologiques, d'idéaux, de points de vue et de programmes. Seraient-elles plus utiles si on pouvait s'entendre sur ces propositions ? Mais on peut se demander s'ils sont et ne peuvent pas être insolvables, comment ils n'ont pas atteint le niveau scientifique et s'ils ne devront pas abandonner ce caractère très pratique du véritable obstacle de leur validité générale, surtout en faveur de celui-ci? S'il en était ainsi, il n'y aurait pas de paradoxe, mais le paradoxe résiderait dans la contradiction inhérente à la croyance populaire, qui voudrait obtenir des conseils autoritaires pour sa propre vie d'un travail de connaissance qui ne peut atteindre que fatigue et validité universelle, s'il renonce à tout conseil. Il est cependant douteux qu'une telle sociologie et une telle économie rendent les esprits à la ferveur d'aujourd'hui.


==== Le nouveau scepticisme ====
==== Le nouveau scepticisme ====
{{Page |n°=-/45/-}} Aucune connaissance n'est aussi difficile que celle de notre propre ignorance, mais si nous avons encore quelque connaissance d'un objet et si elles sont encore si générales, si peu claires, si ingérables dans leur portée, dans leur nature même, notre propre connaissance insondable, alors l'espoir d'éveiller la conscience de notre ignorance et la maintenir éveillée a presque disparu. L'histoire de la science médiévale, par ex., est loin de notre compréhension. Il nous semble inconcevable que les meilleurs esprits, depuis des millénaires en spéculations continuelles sur une région, aient pu ignorer leur ignorance complète dans ce domaine. Comment, à long terme, pourraient-ils considérer la simple idéalisation, l'ordre et la systématisation de leur stupéfiante ignorance, que la scolastique représentait dans les sciences de la nature, comme science ? L'état d'esprit,
la superstition des gens, qui domine aussi les dirigeants
{{Page |n°=-/46/-}}
{{Page |n°=-/47/-}} Pour ce faire, nous choisirons l'histoire de la médecine aux 17ème et 18ème siècles.
La médecine concerne la plus importante des choses pour l'homme puisqu'elle concerne sa vie. Aucun rationaliste ne voudra affirmer que c'est un domaine « idéologique », un domaine de pseudo-valeurs, comme le droit, la coutume et la religion pour les matérialistes. Si ses profits, sa pension ou son salaire sont « importants » pour l'homme, ses pieds, s'ils lui sont amputés, et son sang qui doit lui être prélevé, sont encore plus importants pour lui.


== See also ==
== Voir aussi ==
* [[02/02]]
* [[02/02]]
* [[German Draft Manuscript Fragments (1919-1922)]]
* [[02/02 - English translation]]
* [[Fragments of Draft Manuscripts in German (1919-1922)|Fragments de brouillons de manuscrits en allemand (1919-1922)]]
** [[Der Glauben an die Wahrheiten der Wissenschaftslehre von der Soziologie]]
** [[Der Glauben an die Wahrheiten der Wissenschaftslehre von der Soziologie]]
** [[Gegen die wissenschaftliche Politik]]
** [[Gegen die wissenschaftliche Politik]]

Latest revision as of 00:15, 30 April 2020

Description de l'IKP

Titre Manuscrit brouillon (non-publié) – s. t., 1920-1922
Auteur Polanyi, Karl
Description File consists of an unpublished hand-written draft manuscript in German by Karl Polanyi, a transcript typed in the 1980’s. 38p., and 10 unnumbered pages. Chapters contained in this file are titled "Der Glauben an die Wahrheiten der Wissenschaftslehre von der Soziologie", “Die ärztliche Wissenschaft bis zum Anbruch der grundlegenden naturwissenschaftlichen Entdeckungen", and "Die richtige Weise sich gegenüber der Zukunft zu verhalten". Also included in the file is a fragment of a transcript from the early 1920’s. This transcript consists of three pages for a chapter titled "Der Glauben an die Wahrheiten der Wissenschaftslehre von der Soziologie", and two pages for a chapter titled “Die ärztliche Wissenschaft bis zum Anbruch der grundlegenden naturwissenschaftlichen Entdeckungen". (See files: 01/53, 02/01, 02/03 to 02/09).
URI http://hdl.handle.net/10694/72
Date 2010-08-04

Sommaire

Nom M [1] T KP
La croyance dans la vérité de la scientificité de la sociologie 1-14 37-43+48-51 1-14
... + le nouveau scepticisme 45-47
La science médicale jusqu'à l'aube des découvertes scientifiques fondamentales 14-31 51-67 14-25
La bonne façon de se comporter face au futur 31-36 67-71 31-36
Toute l'ampleur de la responsabilité… 72-76 86-89 37-38
La politique doit redevenir une partie du chemin de la vie. 76 89-90 Sans page
…qui peut être aussi fédéral que central, qu'il s'agisse d'un parlement, d'un congrès ou d'un congrès politique… 78-82 90-94 15-19
La partie la plus solide de la réalité sociale semble reposer sur les relations de production [cristallisées] dans l'institution de la propriété 77 89-90 Sans page
...seulement ce cas de phénomène, qui rendent les sciences naturelles concevables... 83 94-95 47?
La différence la plus essentielle est que nous pouvons laisser le malade sans aucune sorte ... 84-85 95-96 23g-23h

Fragments


Texte en allemand à traduire en français

La croyance dans la vérité de la scientificité de la sociologie

[37/1] Nous vivons dans un temps d'épreuve. Les nations et les classes, les États et les individus ont enduré des choses plus lourdes pendant six ans. Et personne ne doute que la mesure de la souffrance n'est pas encore totalement établie.

Rien ne serait plus naturel/évident que d'essayer de comprendre quelles ont été les causes de ces tourments et comment nous, individuellement ou collectivement, pourrions-nous boucher cette cause.

Le caractère nécessaire de poursuivre cette analyse n'est néanmoins ni sentie ni reconnue. La cause de ce fait étrange est simple et évidente. Ce n'est pas la première fois dans l'histoire de l'humanité, qu'elle se trompe trompée par son motif similaire sur les causes de nos souffrances et la nécessité d'efforts et de connaissances supplémentaires, parce que l'on croit généralement connaître la source de nos souffrances et qu'il n'y a aucun doute sur cette croyance de quelque côté que ce soit.

Le fait que la guerre mondiale ait été causée par le conflit d'intérêts déséquilibré des États concurrents et que la détresse sociale de l'Europe découle du conflit d'intérêts déséquilibré des classes opposées est une évidence. Anglais et Allemands, capitalistes et communistes, se rencontrent sur le terrain commun de leur même vision du monde commune. Les classes et les peuples, les États et les individus, tous vivent dans la foi la cause la plus profonde de la souffrance, qui semble être partagée par tous.

[38/2] Que c'est une foi bien fondée et solide comme le roc qui les remplit, se prouve dans leurs vies et leurs actions. Non seulement ils ont (intimement) cette croyance, mais leurs actes l'indiquent. Ils le scellent avec leurs vies.

Die Ansichten gehen zwar darüber weit auseinander, auf welche Weise die Wirtschaft zur Ursache der Weltkrise geworden ist und noch weiter entfernen sie sich von einander, wenn die Mittel angegeben werden sollen, die das Grundübel beheben könnten. Dieser Umstand macht aber niemanden irre.

Im ganzen und grossen zweifeln die Deutschen nicht daran, dass das was ihnen

[39/3]

[40/4]

[41/5]

[42/6]

[43/7]

[44/8]

[48/9]

[49/10]

[50/11] Börsenkrachs gekannt haben. Im Gegenteil: die grössten Denker und Gelehrten aller Zeiten waren es, die die ersten Steine zu diesem Bau gelegt haben. Einige sind unbestritten Geisteshelden der gesammten Menschheitskultur. Wir nennen nur Leonardo da Vinci, Galileo Galilei, Vegalius, Descartes, Pascal, Bacon of Verulam, Robert Boyle. In der Geschichte der Einzelwissenschaften sind Borelli, Sanctorius, Sylvius, van Helmont, Paracelsus nich gering Namen. Unter diesen finden sich jene grossen Denker und Experimentatoren, die bis auf heute das unübertreffliche Vorbild der empirischen Naturwissenschaft bilden. Niemand wird verständigerweise sagen können, dass die Vertreter der ihm white space Sekte der white space gediegener Köpfe, modernere Geister, kritische Denker sind.

Und endlich handelt es sich auf diesem Gebiet um das Hereinbrechen eines der schwersten Schicksalsschläge, die je über die leibende Menschheit gekommen ist. Um eine grauenvollsten Plagen, die die ärmsten der Armen, die Kranken und Siechenden betroffen hat, die die Menschen dahinraffte wie Seuche und Krieg und deren Schatten das Leben aller Gesunden verdunkelte. Nicht wie ein Scheinübel das nur die moralischen white space, sondern wie ein “wirkliches” Übel das das Leben aller zu vernichten droht. Es ist dies die praktische Medizin bis zum Anfang des XIX Jahrhunderts.

Wir wollen an dem Beispiel der praktischen Medizin des XVII und XVIII Jahrhunderts, einen Zeitabschnitt der Jüngstvergangenheit, klaarlagen, dass die ersten grossen Entdeckungen der Physik, Chemie und Physiologie, die die Grundlagen zur modernen Naturwissenschaft gelegt haben, verhängnisvolle Folgen für die leitende Menschheit im Gefolge hatten. Dass da Erwachen des kritischen Geistes, in einer Intensität und white space wie sie uns heute unbekannt ist, der Leidenschaft [51] zur experimentellen und beobachtenden Forschung, in einer Heftigkeit, wie sie uns lange nicht mehr gegenwärtig ist, nicht verhindern konnten, dass die Fortschritte der Naturerkenntnis in der denkbar unkritischsten Weise vorzeitig auf die Heilkunde übertragen wurden. Und dass erste das rastlose Fortschreiten der Naturwissenschaften zu einem unvergleichlich grösseren Wissensstand, dieser voreiligen Übertragung Einhalt tun könnte und allmählich zu jener relativ unschädlichen medizinischen Wissenschaft führte, wie wir sie heute kennen. Es wird sich hierbei um ein Gebiet handeln, wie die gemeinsamen leiblichen Interessen aller Menschen, also die höchste denkbare Integration menschlichen Eigennutzes unmittelbar betroffen ist und und die Kontrolle ausübt. Und an diesem Beispiel soll es sich erweisen, dass dieser Eigennutz gerade es ist, der diese gefährlichen Verfahren erzwingt und dessen Druck so gross ist, dass keinerlei Einsicht der Nich-Betroffenen (der Gesunden) und kein Leiden der Betroffenen gross genug ist um dem verhängnisvollen Hang des leidenden Menschen Schranken zu setzen, damit er nicht jeder Erkenntnis, so unbestimmt und so unreif sie auch sei, sofort und unmittelbar der Linderung seiner Leiden zuführet, und ware das Ergebnis auch stets das niederschmetternste. Aus dieser Erkenntnis schrieb einer der grössten Geister des XVIII Jahrhunderts, François Quesnay, der Begründer der modernen Sozialphilosophie und Wirtschaftslehre, selbst Arzt und Naturforscher in seinen “Observations impartiales“ (1748) folgendes über diesen Wegenstand:

La science médicale jusqu'à l'aube des découvertes scientifiques fondamentales

[51/12] Même avant la période que Léonard de Vinci, van Helmont, Galilée, Vésale et Harvey ont commencé pour la physique, la chimie et la physiologie, ce n'était pas très bien pour l'humanité souffrante. L'art d'Hippocrate et son école avaient été perdus. [14/51/14][2] L'observation attentive du patient, la prise en compte de toute la personne dans le traitement, la comparaison fidèle des symptômes de la maladie et des tableaux cliniques, l'enregistrement exact de l'évolution de la maladie, en laissant toujours intervenir le pouvoir curatif de la nature comme pilier de la médecine, la prise en compte exacte du moment opportun pour intervenir et la prise en compte constante de l'état de santé du patient, la douceur des méthodes de guérison et l'effort pour soulager la souffrance, le soin attentif de l'utilisation incurable et généralisée des diataïschen et des remèdes naturels, mais surtout l'impartialité (le recul sur) face à toutes sortes de spéculations, théories, explications et interprétations des processus physiologiques et pathologiques : toutes ces choses s'étaient perdues en se mariant avec la culture de Périclès dont elles sont issues. Cette médecine connaissait peu l'anatomie, la chimie, la physique et la physiologie. Mais c'était doux, certes souvent salutaire et rarement nuisible.

[15/52/15] Ce n'est pas par une critique sceptique des systèmes prématurés mais par une propension à peine compréhensible pour le concret, que la philosophie grecque antique, dans une certaine mesure axiomatique, dans la médecine hippocratique, trouve les quatre qualités conventionnelles et les quatre qualités élémentaires. Dans cette école, ils n'ont jamais conduit à utiliser ces concepts autres que la simple expression et les moyens de description, sans leur attribuer leur propre existence non matérielle, voire une fonction fondamentale déterminante du processus de guérison lui-même, comme la deuxième année après notre ère, Galien l'a fait. [15/53/15] Non pas d'une critique sceptique des systèmes prématurés, mais d'une propension à l'objectif à peine compréhensible, il est apparu que les qualités élémentaires des éléments conventionnels, ainsi que d'autres conceptuels, de la philosophie grecque ancienne, dans une certaine mesure axiomatique, se retrouvaient dans la médecine hippocratique. Dans cette école, ils n'ont jamais mené à autre chose que la simple expression et les moyens de description, sans leur donner un rôle déterminant dans le processus de guérison lui-même, ce que Galien a fait au deuxième siècle de notre ère.

La médecine galénique avait l'avantage d'avoir reçu des connaissances scientifiques beaucoup plus riches que celle de l'époque d'Hippocrate, mais avait déjà le grand inconvénient d'avoir formé une théorique médicale systèmatique (figée). C'était le début de la perversité.

[17/56/17][3] Pendant un millénaires et demi, ce système était à la base de l'art de guérir. Néanmoins, au début, il n'était certainement pas complètement détaché de l'esprit hippocratique : c'est-à-dire, dans son application, ce "système" a été traité avec beaucoup plus d’attention sur les aspects susmentionnés de cette école qu’il ne l’était plus tard. [?/53/?] L'essence de la physiologie et de la pathologie galéniques est la doctrine des quatre fluides (humeurs) : le sang, le flegme, la bile jaune et la bile noire. Les différents mélanges (tempérament de temperare = Mizschen) des fluides déterminent l'état de santé de l'individu. Cette doctrine elle-même, ainsi que celle des 4 éléments (feu, eau, terre, air), des 4 propriétés élémentaires (froid, chaud, humide, sec), de la "chaleur réchauffée" du pneuma et de quelques autres, étaient déjà en place dans la conception hippocratique et avaient pénétré dans l'ancienne philosophie. À cela se sont ajoutées les autres idées développées par les écoles post-hippocratiques (Jatrozophisten, Péripatéticiens, Dogmatiques, Hierophilern, Erisostratiern, Pneumaticiens, etc.).

Tout ceci a été développé en une forte curation formaliste, sur la base de la proposition selon laquelle le contraire doit être traité par le contraire, dans lequel des dyscrasies de toutes sortes, selon la qualité élémentaire qui leur est accordée et au que ces intrigues prédominaient, ont été traités au moyen de certains remèdes qui devraient contenir la propriété élémentaire opposée, au degré approprié. L'opium, par ex., était considéré comme sec au 4ème année et ne pouvait donc pas être disséminé dans de la fièvre considérée comme sèche ; plus la fièvre est violente, moins il y a de fièvre, etc. Ce médicament était aussi mauvais qu'il semblait formellement inattaquable.

L'idée galénique du mouvement du sang dans le corps humain a été la suivante. Avant qu'ils aiment espace blanc </ span>, il faut se rappeler que des anatomistes comme Léonard de Vinci et Vésale, des naturalistes tels que Bacon Verulam se sont présentés aux humains de la même manière, et même Descartes peut-être la plus grande méthodologue scientifique d'une génération de grands naturalistes, qui a accepté la découverte de Harvey dans une large mesure seulement pour Guntsen G's.
[17/56/17] Auf Grundlage dieser und ähnlicher Vorstellungen lebte die Medizin der Araber und Inder fort, die nach dem Untergang des römischen Reiches, die Ausübung der Medizin übernahmen. Die Galenische Medizin war es die hier fortlebte, aber bald in einem scholastischen, bald in einem mystischen Gewende white space. Es ist bekannt, dass die Original Texte des Klassiker bald verloren gingen und dass auf Grund der endlos glossierten Texte, die immer falscher und falscher wurden, eine ganze Reihe von schier unverständlichen Streitfragen die Köpfe der Mediziner beherrschten. Die angewandten Heilmethoden waren immer mehr spekulativen Auslegungen der verschiedenen iatroscholastischen und iatrosphistischen Schulen entnommen, die sich zuweiler auf die dogmatische, oder auf die methodische oder irgendeine andere der nachhyppokratischen Schulen berief, oder alle Theorie ablehend sich kurzerhand “Empiristen” nannten. Gewiss waren diese Heilmethoden keine nützlichen, wie waren sogar gewiss schädliche. Nur sehr wenig sind die Heilmittel die richtig angewendet worden sind. Sie war aber dennoch im allgemeinen keine bösartige white space und white space. Denn dazu fehlte es ihr Autorität. Der Arzt war soviel wert, wieviel seine Kunst wert war. Und das ist die Wirkliche Ursache dessen, dass trotz ihrer extravaganten Ignoranz, spitzfindiger Verschrobenheit und philologischem Abrakadabra diese Medizin kaum Spuren in der Kulturgeschichte dieser Periode hinterlassen hat. Nur Fürsten hielten sich Ärzte, aber auch der sich einen Arzt hielt liess sich von ihm malträtieren. Dazu fehlt der Glaube. Das Volk aber wendete sich, wie immer an die Barber, die in Mitteleuropa oft nicht nur mit dem Chirurgen, sondern auch mit dem Arzt zusammen white space, oder an Quacksalber, die ihre historische Langlebigkeit offenbar daher beziehen, dass ihre Mittel, die wohl selten nützen, ebenso selten ernsten Schaden anrichten. -Diese kurze Kennzeichnung einer langen und vielfältigen Kulturenwickelung, versucht kein treues Bild von dieser zu bieten, sondern nur das Hauptmerkmal der Periode von unserem Gesichtspunkte aus anzugeben. [17/54/17] Auf Grundlage dieser und ähnlicher Vorstellungen lebte die Medizin der Araber und Juder fort, die nach dem Untergang des römischen Reiches, die Ausübung der Medizin übernahmen. Die Galenische Medizin war es die hier fortlebte, aber bald in einem scholastischen, abls in einem mastischen Gewnde vehrämt. Es ist bekannt, dass die Original Texte des Klassiker früh verloren gingen und dass auf Grund der endlos glossierten Texte, die immer falscher und falscher wurden, eine ganze Reihe von schier unverständlichen Streitfragen die Köpfe der Mediziner beherrschten. Die angewandten Heilmethoden waren immer mehr spekulative Auslegungen der verschiedenen iatroscholastischen und iatrosphistischen Schulen entnommen, deren Hauptwaffen Grammatik deren Hauptwaffen Grammatik und Philologie waren und sich zuweilen auf die dogmatische, oder auf die methodische oder irgendeine andere der zahlreichen nach Hippokratischen Schulen berief, oder alle Theorie ablehnend sich Kurzer Hand “Empiristen” nannten. Gewiss waren ihre Heilmethoden keine nützlichen, ei waren sogar gewiss oft schädliche. Nur sehr wenig sind die Heilmittel die richtig angewendet worden sind. Diese Medizin war aber dennoch im allgemeinen keine bösartige und painingende. Denn dazu fehlte es ihr Autorität. Das ist die wirkliche Ursache dessen, dass trotz ihrer extravaganten Unwissenheit Spitzfindigen Verschrobenheit und philologischen “Abrakadabra” diese Medizin tieferen Spuren in der Kulturgeschichte dieser Periode hinterüausen hat. Nur Fürsten hielten sich Ärzte, aber auch der sich einen hielt, liess sich von ihm misshandeln. Dazu fehlt es an Glauben. Der Arzt war soviel wert wieviel seine Kunst wert war. Das Volk aber wendete sich, wie immer an die Bader, die in Mitteleuropa oft nicht nur mit dem Chirurgen sondern auch mit dem Arzt zusammenfielen, oder offenbar daher beziehen, dass ihre Mittel, die wohl sehr selten nützen, ebenso selten einen ernsten Schaden antichten. -Diese kurze Kennzeichnung einer langen und vielfältige Kulturentwicklung, die sich räumlich wie zeitlich bunt gliederte, will kein treues Bild von dieser zu bieten, sondern nur das Hauptmerkmal von der Epoche von unserem Gesichtspunkte aus deutlich anzugeben.

Galileo Galilei's mechanische Untersuchungen sind der Ausgangspunkt jener Umwählzung die Jahre später zur Entdeckung des Blutkreislaufes durch Harvey führten. Galilei's experimentelle Methode schaffte in Italien eine Schule exakter Anatomen an deren Spitze Vesalius steht. Borelli und Sanctiorio führten die mathematisch-mechanistische Methode auf dem Gebiete der Physiologie weiter und erzielten Ergebnisse von der allergrössten Bedeutung. Dieselbe Methode war es die Harvey bei seinen Forschungen führte und damit zur grössten Entdeckung die die Wissenschaft von Menschen ja geleistet hat. Die philosophischen und methodologischen Ergebnisse wurden frühzeitig von Descartes in eine neue Weltanschauung gefasst, die als die mathematische Methode die führenden Geister dieser so grossartigen Periode beherrschte. Bacon's allgemeinere und unvoreingemommere Grundlegung der empirischen Methode kam daneben langsamer und erst allmählich zur Geltung.

Die Alchemisten, mit Baselius Valentinus und Paracelsus an der Spitze sind die Vorläufer der experimentellen Chemie. Zuerst suchten sie den Stein der Weisen um damit Gold zu schaffen, später um die Gesundheit und das Leben der Menschen zu erhalten. Ihre falschen Zicle führten sie zur richtigen Methode der experimentellen Chemie und so white space und verworren ihre chemischen Vortstellungen auch waren, so waren sie doch eine unendlicher Fortschritt gegenüber der sophistischen und scholastischen Chemie der Arabisten. Van Helmont folgte diesen Spuren, zum Teil mit exakten Methoden, und wurde der Entdecker der “Gase”. Jetzt gewannen auch die drei Elemente der white space (Paracelsus, etc.) Autorität und Geltung. Bis zum Ende des XVIII Jahrhunderts blieb es also bei der Alchemie (Trotz Boyle, Meadlow, Stahl und Priestley).

Umtürzend war die Wendung die das XVII Jahrhundert brachte. Physik, Chemie und Physiologie hatten wahre Wunder geschaffen. Galilei, van Helmont und Boyle, Borelli und Harvey hatten den Umkreis der Herrschaft des Menschen über die Natur zur ungeahnten Ausdehnung gebracht.[4] Die Philosophie, Erkenntnisstheorie, Ethik, Psychologie und Politik der Zeit waren von den neuen Möglichkeiten beherrscht.[5] Descartes hatte den Satz aufgestellt, das Sein und alle seine Erscheinungen in der Natur seien nichts als Bewegungen materieller Teile und hatte die Beschreibung des Fühlenden, handelnden Menschen als einer Maschine gegeben, die er mit allerdings willkürlichen physiologischen Vorstellungen ausstattete, aber mit keinen, die nicht im Bereiche der Möglichkeiten gelegen wären.

Mit fieberhaftem Eifer ging man daran die neuen Errungenschaften für die Medizin zu verwerten. Die besten Köpfe, Naturforscher und Mediziner in einer Person, gingen an die Arbeit und in Bälde war eine neue Medizin geschaffen, eine Medizin von ungeahnter Autorität, der man blindlings folgte und die das ganze Wissen ihrer Zeit in den Dienst der Menschheit stellten.

[20/59/20] Sehen wir zuerst die praktischen Ergebnisse dieser grossen Geistesbewegung:

Wie war es so weit gekommen? Wie konnte die Frucht der besten Geister zu einem Gifttrank für die Menschheit gebraucht werden? Wo ist der Schlüssel zu dieser grossen Niederlage?

Das erste Ergebnis der freudigen Verblüffung und des Stolzes, der die Forscher nach der Entdeckung Harvey's erfüllte, war eine scheinbar selbstverständliche: Die Medizin, wie sie bis dahin bestand, wurde in Bausch und Bogen verworfen. Eine Praxis die sich auf Galenische Vorstellungen aufbaute, konnte nichts für eine Zeit besagen, die das Grundgesetz des menschlichen Haushaltes entdeckt hatte. Hippokrates, der nicht einmal Galenische sondern wahrscheinlich garkeine Vorstellungen von der Bewegung des Blutes hatte, kam nicht mehr in Betracht. Damit waren nicht nur die Arabisten, sondern auch die viel gemässigteren Galenisten klassischer Art, verworfen, -was allerdings keine grosser Schaden war. Es war damit auch die Geistesrichtung des Hippokrates, das der unvoreingenommen neuen Beobachtung, der abwartenden und milden Behandlung, das wahrhaftig medizinische Prinzip auf lange verschüttet.

An ihre Stelle trat die Anwendung der physikalischen und chemischen Erkenntnis auf die Heilkunst. Die grossen Schulen der Iatrophysiker und Iatrochemiker traten mit Übermacht auf und beherrschten bis zur Mitte des XVIII Jahrhunderts die Medizin.

Wir beschränken uns darauf hier jene Persönlichkeiten und ihre Forschungsergebnisse anzuführen die ein charakteristisches Licht auf diesen grossen Process werfen können: Die Entdeckung transpiration inperceptibilis durch Santorio und die Sylviussche Fermentationslehre für die Iatrochemie.


[x/59/21] Es ist uns schon klaar, warum die Anwendung dieser und ähnlicher Erkenntnisse auf die Medizin verhängnisvolle Folgen nach sich ziehen musste:

  1. Der Stand des Wissens war noch viel zu gering, um die richtigen Grenzen, ja sogar die eigentliche Bedeutung der aufgedeckten Zusammenhänge zu begreifen. Die Tatsache allein, dass die wissenschaftliche Chemie noch nicht existierte, machte jede physikalische Vorstellung für den menschelichen Organismus zu einem grossen Irrtum, ebenso aber auch die Anwendung s.g. chemiatrischer Vorstellungen.
  2. Nur die genaue Beobachtung hätte ergeben können, ob die Anwendung empfohlenen Mittel zuträglich oder abträglich sei. Zu einer deartigen Beobachtung waren die Geister zu voreingenommen.
  3. Der einzig richtige Standpunkt, die Medizin auch weiter vollständig losgelöst von den Errungenschaften der Physik, Chemie und Physiologie zu betreiben, verstiess gegen die Autorität dieser neuen Wissenschaften und konnte gegen die Versuchung, aus diesen Erkenntnissen einen Vorteil für die leidende Menschheit zu ziehen, nicht widerstehen.
  4. Der wesentlichste Fehler aber war, dass man übersah, dass so viel man auch über allerhand Zusammenhänge der Naturerscheinungen in Erfahrung gebracht hatte, man über eigentliche Wesen des Lebens, der Gesundheit und Krankheit nochgerade so wenig wusste, wie vorher. Diese Erkenntnis allein hätte genügt um, falls man an ihr nur zäh festgehalten hätte, alle Verfahren ausser den rein medizinischen, aufzugeben. Sie hatte die grosse Leistung vollbracht, auf die es hier [22/60/22] ankam, alle Anwendungen durch energische und aktive Skepsis grundsätzlich abzulehnen.

Erst die unvergleichlich ausgedehnten Untersuchungen und Wissensstand der heutigen Naturforschung haben zu dieser weitgehenden Skepsis geführt und der Menschheit eine Heilkunde gegeben, die zumeist unschädlich ist und in vielen Fällen grossen Nutzen stiftet. Der übermässige Glaube der Masse an dieses neue Heil, das schwere und allgemeine Schäden für die geistig-sittliche Existenz der Zeit zur Folge hat, ist kein Verschulden medizinischer Wissenschaft. Sie ist bloss der Gegenstand, nicht aber die wesentliche Quelle des modernen medizinischen Aberglaubens.

Es muss eine der vornehmsten Bemühung der white space sein, die s.g. Wirtschafts und Sozialwissenschaft, die noch in der Phase der Iatrochemie und Iatrophysik steht, daran zu hindern, die Notlage der leidenden Gesellschaft zu so wüstem Unfug zu misbrauchen, wie es auf dem Gebiete der körperlichen Leiden unseren Vorfahren nicht erspart geblieben ist. Denn Lange wird es noch daueren, wenn wir die Möglichkeit einer solchen Entwickelung zugeben, bis diese Wissenschaften ihre eigenen Grenzen erkennen ud sich mit ihren erkenntnismässigen Aufgaben bescheiden. Bis dahin könnte die Menschheit am kriegerischen und revolutionären Aderlass längst verblutet sein.

[23/61/23] An dem Beispiel der Medizin haben wir es aufgezeigt, dass das Aufdämmern einer neuen Wissenschaft, wie es die der Naturerkenntnis war, für die Menschheit von den traurigen Folgen begleitet sein kann. Sie muss jedes Mal von diesen Folgen begleitet sein, wenn die pratkischen Anwendungen mittels eines Kurzschlusses geschehen, den die Mangelhatigkeit der theoretischen Erkenntnis erst möglich macht, gleichzeitig auch zu notwendigerweise irrigen Folgerungen hinleiten muss.

Es handelt sich aber hier um mehr eine Parallele zwischen den Anfängen der Naturlehre und der Soziologie in ihren Wirkungen auf praktische Heilmethoden: dort die leiblichen Übel der Einzelnen, hier die leibliche Übel von Massen. In Wirklichkeit entsprang die Soziologie auch einer der voreiligen Anwendungen derselben Naturlehre, die die verhängnisvolle Medizin des XVII und XVIII Jahrhunderts an Schuldkonto hat.

Das erste Sozialphilosophie System, das physiokratische, entstand unter unmittelbarer Einwirkung der Naturwissenschaften ihrer Zeit als eine Übertragung der Erkenntnis allgemeiner Gesetzmässigkeit in der Natur auf die Verhältnisse der menschlichen Gesellschaft. Ein [24/62/24] Jünger Quesnay's, Dupont de Nemours, schildert in seiner REde auf folgende Weise die Beteudung der neuen Lehre: _________. Und der Sekretär der Akademie der Wissenschaften, der Astronom de Fouchy, sprach in seien Eloge funebre die Folgende Worte: _________________. So entstand die Theorie der ordre natural, einer der nach mathematischen Gesetzen alle Verfügungen der Regierung, die ordre politique, ziffernmässig abzuleiten seien. Diese schon bei Quesnay materialistische Gesellschaft und Geschichtsauffassung, wurde durch Comte und Marx zu einer deterministischen. Die white space und Darwin's Kampf um's Dasein, waren die weiteren Erkenntnisse der mathematisch- wissenschaftlichen Methode die zur organischen Auffassung der Soziologie führten. Die Geschichte der Soziologie ist bis auf unsere zeit kaum mehr als eine zwangläufige Übertragung naturwissenschaftlicher Erkenntnisse auf das gesellschaftliche Dasein der Menschen. -Dies ist jene “Wissenschaft” von der die Menschen unmittelbare Anwendungen für ihre white space Probleme suchen und die Berufung auf welche sie als eine “Wissenschaftliche”, also “höhere” Art der Politik gelten lassen wollen.

Als die vornehmste dieser soziologischen Schulen gilt auch heute noch die marxistische. Die materialistische Geschichtsauffassung und die im Kommunistischen Manifest und in Engel's “Von der Utopie der Wissenschaft” verkündigten Prophezeiungen und der dort vorgezeichnete Weg zu dem gelobten Land dieser Prophezeiungen zu gelangen, geniessen auch heute noch, Dank der umfassendden Unkenntnis der Führer von den Fortschritten des kritischen Denkens seit jener Zeit, eine Autorität bei den Massen, die nicht geringer ist, als es die der Iatrophysiker und Iatrochemiker zur Zeit des XVII und XVIII Jahrhunderts waren.

[25/62/25] Die Voreingenommenheit für diese Lehren und Auschauungen ist so gross, dass keine Miserefolge, die die Menschheit erleidet, die Augen zu öffnen vermag um ihre Irrigheiten einzusehen. Wie einst so wird auch heute jeder Miserfolg entweder der nicht genügenden Anwendung der empfohlenen Mittel oder einfach dem Zufall zugesprochen.

Der gesunde Menschenverstand, diese einzige Grundage aller Skepsis, ist ganz in Ungrade gefallen. Es ist ja wahr, in der Wissenschaft soll und wird er durch schärfere und bessere Denkmethoden ersetzt. Wie aber soll man sich darüber klaar werden. ob man einer Wissenschaft oder nur dem Schein einer solchen gegenüber steht? Dazu ist nur der gesunde Menschenverstand fähig und der wird eben ausgeschaltet. Aus dem falschen Zirkel gibt es kein Entrinnen mehr.

Die einfachste Erfahrung zeigt, dass wir heute nicht mehr als vor zehntausend Jahren einer Vorhersage auf dem Gebiete der Geschichte fähig sind. Diese Tatsache ist unwiderleglich und sollte von entscheidender Bedeutung sein. In Wirklichkeit ist sie es nicht, denn unsere wissenschaftliche Voreingenommenheit hindert uns daran eine so einfache Tatsache des gesunden Menschenverstendes überhaupt zu bemerken, geschweige denn ihr ein Richteramt über alle unseren Spekulationen und Theorien einzuräumen.

[26/63/26] Und dennoch ist ein Rückblick auf die letzten Jahre nicht offenbarer als, dass die Art und Weise wie die Welt verläuft von uns nicht vorhergesehen werden kann. Man mag sie zuweilen erraten, nie aber mit white space Methoden vorausbestimmen. Seit dem Ausbruch des Weltkrieges, einem Ereignis in dem wir noch mitten drin sind und von dem wir ebendarum noch nichteinmal wissen können, was es ist, vermag jeder, der sich Rechenschaft über sein eigenes Denken zu geben imstande ist und den Mut hat, dieses zu tun, bündig einstehen, dass unsere Vorstellungen von der Zukunft stets andere waren als wie sich diese Zukunft erwiesen hat. Die Schwäche des menschlichen Gedächtnisses, die uns ebenso anhaftet, wie die Schwäche der Vorstellungsgabe, die uns dazu verhilft die Leiden anderer heldenhaft erdulden zu können, -diese Schwäche unseres Gedächtnisses täuscht uns allerdings sehr oft über das Bild das wir von der Zukunft innehaben, - bevor diese zur Gegenwart wird. Diese Verschwommenheit, Verworrenheit und die widerspruchvolle Art unserer Hoffnungen und Befürchtungen ist die zweite Ursache aus der uns leicht so scheint, dass das was kam, “unwesentliches” oder “im Grossen und Ganzen,” oder “unter veränderten Umständen”, eben das ist, was wir auch erwartet hatten. So vermag der naive [27/64/27] Mensch sich leicht darüber hinwegtäuschen lassen, dass die Ereignisse hier stets so unerwartet kamen, als ob es nie eine soziologische Wissenschaft gegeben hätte.

Eine bedeutend grössere Summe von Voreingenommenheit gehört allerdings dazu, wenn sich geschulte Köpfe und denkerisch verantlagte Geister über diese einfache, nackte Tatsache, ebenso leicht hinwegtäuschen lassen. Allerdings: ihre Schulung und ihr Denken ist eben kaum anders als die Schulung in den abergläubischen Wahlvorstellungen ihrer Sektenpropheizungen und ihr Denken ist nichts als die unkritische und unwissenschaftliche Verallgemeinerung dieser zukunftsbändigenden Methoden auf alles und jegliches. So kommt es dann, wie es immer der Fall ist, wie nicht Wissenschaft sondern bloss Scheinwissenschaft vorliegt, dass der naive geunde Menschenverstande der Wahrheit viel näher steht als das Denken der Sophists und Scholasten.

Das Gefühl der Verantwortung sollte aber stark genug sein um gegen den Schulgeist aufzunommen. Handelt es sich doch um Menschenleben, nicht nur um jene die durch den Tod geopfert werden sondern um eine unvergleichlich grössere Anzahl von Menschenleben derjenigen, die den Weg zum gelobten Lande ihrem Lebensweg machen und über deren ganzes Leben, Trachten und Wollen so entschieden wird.

[28/65/28] Die Marxisten sind es hauptsächlich die es heute den Iatrophysikern und Iatrochemikern am meisten nachtun. Ihre Heilmethoden begründen sich auf eine Reihe von Voraussagungen die wie sie es nennen “sowieso” eintreten werden. Dieser Ausdruck ist die white space für die Naturwendigkeit jener Prophezeiungen, mit dem Glauben an welche, sie diese aber erst wahrmachen wollen. Sie tun so, wie der geriebene Geschäftsmann, der zur Gründung einer Aktiengesellschaft mit dem Argumente überredet, dass die Sache “auch ohne ihn gemacht werden” würde. Er weiss genau, dass er jedes Mitglied mit diesem Arguments gewonnen hat, fühlt sich aber des Gelingens dieses Unternehmens so gewiss, dass er diese white space ruhig auf's Gewissen nimmt. Zum Schluss, vor lauter Wiederholung derselben Sqche und Wendungen, mag er selbst an diesen naturnotwendigen Zustande kommen seiner “Sache” zu glauben. - In Wirklichkeit ist weder ihre Wahrheit, noch Notwendigkeit durch all das viele Wiederholen gewisser oder fester geworden.

Es schleichen sich auf diese Weise Begriffe und Vorstellungen in die Köpfe der Menschen ein, die zu den grössten Hindernissen der Lösung jener Fragen werden, die für das unvoreingenommene Denken in Wahrheit vorlägen. Das scholastische System hat die verhängnisvolle Eigenart sein Gran von Wahrheit unter einem Turm von Irrtum zu begraben. Dieser [29/65/29] Turm von Irrtum ist es, der dann die Blicke anzieht, und das Gran von Wahrheit ist es, dass immer verschüttet bleibt.

Wir wollen nur in einem einzigen Beispiel darlegen, wie die white space Folgerungsweise diese Krebsschäden aller rein spekulativer Erkenntnis in den Wirklichkeitsgebieten, um sich greift und sich behauptet.

(Das Beispiel von der Milch u. der Säure)

Warum haben sich diese hellen Köpfe, diese an Bacon und Descartes geschulten Geister nicht gesagt: 1) all dies ist bloss möglich, aber darum noch nicht wahr; 2) dieser Möglichkeit stehen andere Möglichkeiten unabsehbarer Zahl gegenüber. 3) Der Wahrheit dieser Möglichkeit stehen aber auch sehr viele Wahrheiten entgegen und endlich; 4) warum sollten wir die Art und Weise wie wir den kranken Menschen, seine Krankheit und die praktisch bewährtesten Heilverfahren ohne Spekulation aufzufassen gewohnt sind, aufgeben, ohne die Gewähr dafür etwas besseres zu haben?

Sehen wir einmal zu, wie auf Grund der heutigen soziologischen Wissenschaft z.B. die Marxisten folgenn:
Heute herrscht Elend. Dieses heute ist der Kapitalismus. Was ist Kapitalismus? Das was an dem Wirtschaftssystem neuer ist und früher darum nicht da war. Was ist das? Das ist: Markt, freie Konkurrenz, [30/66/30] freies Verfügungsrecht über die Produktionsmittel. Was ist daher zu tun? Wir müssen den Markt, die freie Konkurrenz und das Verfügungsrecht über die Produktionsmittel abschaffen. Dann wird es kein Elend geben. Niemand fragt, ob nicht vorher vielleicht white space Elend geswen ist? Ob nicht vielleicht grade die Unfreiheit der Konkurrenz, also das Monopol, die Ursache des Elend sei? Ob man den Markt abschaffen kann? Ob nicht neue, viel grössere Übel entstehen müsste, wenn man die Freiheit des Menschen aufhebe? Ob diese Dinge, die hier Kapitalismus genannt werden, nicht ganz white space Dinge seien, die zum Teile nichts mit einander, zum Teil nichts mit dem Elend zu tun haben? Ob derlei Dinge, wie die, von denen hier die Rede ist, überhaupt mit einfachen Willensbeschluss abgeschafft werden könnten? Und ob das andere was dann sein würde, uns heute klaar genug sein kann um es diesem vorzuziehen? Ist es uns aber nicht klaar genug, warum nicht white space Wege, die uns klaar sind, daher zu beschreiten seien, als solche die es nicht sind? -Es gibt unzählige Fragen, die bedenken System als blosse Willkürlichkeit erscheinen zu lassen Ebendarum werden sie auch sorgsam unterlassen.

La bonne façon de se comporter face au futur

[31/67/31][6] Es ist eine auffallende, aber wenig bemerkte Tatsache, dass sich die Wissenschaft, wenn es sich um die Vorhersage der Entwickelung der Gesellschaft handelt, mit Vorliebe die fernere Zukunft zum Gegenstande wählt. Was nach Jahrhunderten eintreten muss, gibt sie vor mit Bestimmtheit zu wissen, was aber morgen sein wird, darüber weiss sie nicht mehr, als der einfachste und “ungebildete” Mensch. Darum haben wir die wissenschaftliche Prophezeiung dessen, was sich in gesellschaftlichen Dingen sowieso ereignen wird, (und mehr als eine Wahrscheinlichkeit hierfür, kann nie bestehen), ganz ausser acht zu lassen. Denn diesen Wahrscheinlichkeiten gegenüber, von der wir uns zu leiten lassen white space fühlen, steht eine Gewissheit gegenüber, die uns zwar die Zukunft aus sich allein noch nicht beherrschen lässt, aber uns die Gegenwart mehr als alles zu beleuchten vermag und darum auch auf den Weg zur Zukunft ein Licht wirft: das sind unsere Wünsche und Ideale sowie sie sich aus unserem Leben ergeben.

Unsere Wünsche und Ideale rechnen allerdings mit den Tatsachen, denn sie entspringen ja zum Teil aus ihnen. Und gewiss gehört zu diesen Tatsachen das was wir für nächste Zukunft mit Wahrscheinlichkeit vorhaussehen. Es ist also nicht abzustreiten, das wir uns dem Einfluss der Voraussicht nicht zu entziehen vermögen.

Dies ist auch mit obigen nicht gemeint. Der Hunger von morgen ist die Ursache der white space von heute und die Voraussicht dessen das wir einst auch alt werden, ist vielleicht eine der Hauptursachen warum uns schon heute das Alter verehrungsbedürftig erscheinen muss. Diese Voraussicht ist aber keine wissenschaftliche, sie hat keine [32/68/32] Voraussetzungen, die nicht die des täglichen Lebens wären, sie bleibt in allem und jeglichem innerhalb des Bereiches des gesunden Menschenverstandes. Sie unterscheidet sich wesentlich von jener Art der Voraussicht die sich die Soziologie oder die Wirtschaftslehre anmaasst.

Keine Erkenntnis white space oder philosophische, sondern eine praktische Untersuchung haben wir versprochen: die Unterscheidung zwischen Wissenschaft und Alltag ist klaar genug um jedem praktischen Zweck zu genügen.

Haben wir einmal eingesehen dass wir nur die Wahl haben uns entweder der Wissenschaft der Zukunft zu überantworten und unsere Wünsche und Ideale nach ihren Rathschlägen und Richtlinien zu richten, oder aber an unseren auf dem Wege in ihrer Verwirklichung zu entraten, -so haben wir die Alternative so gestellt, wie sie in Wirklichkeit vorliegt. Denn der Mensch der sich in dem phantastischen und doch so logisch scheinenden Reiche der Zukunft, die ihm die spekulative Soziologie eröffnet, ein Heim gefunden hat, muss unabweislich und unbedingt an seine ursprünglich white space Wünschen und Idealen large white space, - er ist in der Zukunft daheim, aber in der Gegenwart seines eigenen Lebens ist er immer mehr ein Fremder.

[33/68/33] Hat der Mensch aber einmal den Sinn seiner eigenen ursprünglichen Wünsche nicht mehr inne und beleuchten ihm seine Ideale nicht mehr das Dasein, so dass er ihren Sinn begreifen und festhalten kann, - so ist für ihn alles verloren. Denn unsere Wünsche und Ideale, sie können uns im dunkelsten Dunkel leiten und begleiten, denn es strahlt von ihnen eine Leuchtkraft aus die keine Finsternis ausschliessen kann, der Mensch aber, der nicht mehr fühlt und weiss, dass er Sinn des Weges den er geht, in ihm selbst und nur in ihm selbst lebt, muss notwendig irre gehen und wenn eine ganz andere Soziologie und ganz andere Wirtschaftslehre als die der heutigen und Obskurantisten, ihm die Wege weisen wollten.

Die Gefahren die durch das Abweichen von unserem natürlichen Lichte zu Gunsten künstlicher Beleuchtung, in der die Wissenschaft die Zukunft erstrahlen lässt, aufgebschowren werden, sind viel grössere als es der Verzicht auf die Geheimmittel der gesellschaftlichen Kabbalistik, die wir Soziologie nennen, im Gefolge haben:
Es scheint denen, die sich unter der Suggestion des Bolschewismus befinden, ganz einleuchtend dass, alles was heute ist shlecht ist, und wert das es zugrunde geht. Mit grösster Unhefangenheit gehen sie daher daran ein Gesellschaftswesen mit Gewalt zu errichten, das auf der Überwindung des individuellen Einzellebens, auf dem gemeinnützigen Zwang und auf einem unabsehbaren System von Centralismus und Staatsmacht aufgebaut ist. All dieses natürlich nur als Vorläufiges, -der Endzustand soll ein ganz anderer werden, offenbar ein solcher, der den Wünschen und Idealen der Menschheit besser entspricht.

Diese Wünsche und Ideale sind also auch in diesem Gedankengang nicht gänzlich zu vermeiden. Sie sind nur vorläufig ausser acht gelassen. Das praktische Vorgehen und die praktische Wirklichkeit für eine Generation zu der gesprochen wird, und dessen Lebensdauer mithin beansprucht wird, soll aber grade auf der vollkommen Ausschaltung und unspace dieser Ideale beruhen. In der Praxis bedeutet das: die systematische Verabsetzung, Verhöhnung und Leugnung dieser Ideale und Wünsche soll solange betrieben werden, bis sich die Menschen dazu verstehen sie für ihre Lebensdauer zu der white space, allerdings nur um sie für eine spätere Generation in Wirklichkeit umzusetzen. Bei diesem Lichte besehen, erscheint allerdings nicht nur die Theorie, sondern auch die Praxis der heutigen Iatrophysiker and Chemiker, schon in ihrer Vorbereitung zur eigentlicher Kun, so abtrus und grotesk, dass man kaum zu glauben vermag, das es das ist, was sie tun und vorschlagen.

[35/70/35] Wie gross ist doch unter diesem Umständen die Gefahr, dass die wirklichen Wünsche und Ideale der Menschen, white space selbst die white space Kommunisten stehen, ganz andere sind, als sie die Suggestion einer so very large white space Propaganda erscheinen lassen muss. Ist es doch gewiss, dass sich der Mensch eine zeitlang über seine eigenen Wünsche täuschen lässt, wenn nur die Suggestion die die Täuschung bewirken soll, gross genug ist.

Die Folgen eines derartigen Vorgehens müssen aber notwendigerweise verhängnisvolle sein. Denn die Wünsche und Ideale der Menschen, lassen sich bloss zeitweilig verdunkeln, nicht aber endgültig unterdrücken oder gänzlich auslöschen. Die Kriegssuggestion hat auch nicht ewig gedauert und heute wäscht sich die Menschheit von den Spuren die das Stahlbadspace des Krieges auf Leib und Seele hinterlassen haben.

Die Bolschewisten setzen also ihre systematische, von wissenschaftlicher Quacksalberei und revolutionärem Bühnenlicht eindrucksvolle gestaltete Hetze gegen die niedrigen Triebe des kapitalistisch white space Menschen fort: Freiheit des Geistes, Freiheit der Persönlichkeit, Freiheite vom Staate, Freiheit von der fremden [36/71/36] Einmischung in Heim und Hof, freies Leben auf freier Scholle, freie white space meiner eigenen Kräfte und freie Wahl der eigenen Ziele. -Wo ist der Gewähr, dass sich die Menschheit nicht wirklich täuschen lassen könnte und dass sie nicht zeitweilig durch die Kneipkur dieses neuen Stahlabdes gegangen, wieder “umlernen” könnte und, wie im Kriege, sich eine zeitlang dem Wahne hingeben könnte, sie habe sich in ihren bischerigen Idealen geirrt und das die neue Lehre des roten Militarismus das wahre und richtige sei?

Tritt aber dieser Fall ein, so ist alles verloren. Denn nichts ist gewisser, als das die Menschen garbald aus dieser Hypnose erwachen müssten und fänden sie dann nicht die versprochene neue Welt vor, so wäre es nur zu bald um jenes Gemeinschaftsgeschehen, zu dem man ihr die Zusage im Wachtraum einer Massenhypnose abgelockt hat. Mit welch alles zersprengender Elementarkraft würden sich nicht wieder die Menschen ihrer eigentlichen Wünsche besinnen, wie würden in dem Dunkel der Verirrung ihre ursprünglichen Ideale aufleuchten und die Papiermache Umwelt einer unwirklichen Kulissenwelt in Flammen aufgehen lassen -Welcher Leidensweg aber bis dahin, und welche Leidenswelt nachher.-

Toute l'ampleur de la responsabilité…

[72/86/37] Die ganze Grösse der Verantwortung aber die die Möglichkeit eines solchen Laufes der Dinge in sich schliesst, sollte doch jedem, dem das Schicksal der arbeitenden Klassen am Herzen liegt und die die unbedingte Notwendigkeit die empörende Ungerechigkeit der heutigen Umstände und ihre planlose Verworrenheit, die alles in ihrem Umkreise qualvoll und sinnlos white space gestalten muss, zu ganz anderen Zuständen umzugestalten, klaar eingesehen hat, mehr als jedem anderen, dieser ungeheuren Verantwortung müsste diesem in seiner ganzen Grösse bewusst werden.

Denn würde es zur Wahrheit werden, dass die Menschheit white space Bolschewistischen white space sollte und, was, die unabweisliche Folge dann sein würde, -sollte sich dann Arbeiterklasse im Namen ihrer alten Werte und Forderungen, diesen Versuch in Stücke schlagen, dann hätte für alle Freiheitskämpfer des Proletariats die letzte Stunde geschlagen. Eine Klasse die freiwillig zu dem früheren Kapitalismus zurückkehren würde, zurückkehren unter jenen Schlagworten und Idealen die ihnen die Kommunisten als die Ideale der ausbeuterischen Bourgeoisie zu kennen gelehre haben, eine solche Klasse wäre nicht nur physisch und moralisch white space, sondern auch geistig und sittlich entwaffnet auf unabsehbare Zeit wehrlos der ärgsten Siegesherrschaft der Reaktionären aller Länder ausgeliefert. Sie hätte die white space Schlacht verloren und kein Mittel würde es geben, ihre endgültige Versklavung aufzuheben. Nicht würde sie die Kraft in sich finden neu den Kampf aufzunehmen, denn sie hätte sich durch diese Wendung ihren Geschickes allen Anspruch auf Selbstgefühl und auf eigener Bestimmung verloren.

[?/86-87/38] Die arbeitenden Klassen waren zumeist -aber nicht immer!- der Herrschaft der Gewalt oder des allmächtigen Kapitals unbewusst. Dieser Zustand müsste auf unabsehrbare Zeit fortdauern, wenn die Ideale der Freiheit und der persönlicher Würde, diese allgemeinen Güter der Menschheit, durch einen white space Prozess large white space wie es erst die white space, dass die white space wäre, zu den Machtsymbolen der kapitalistischen Herrschaft auf ewig gestempelt würden. Was heute nicht wahr ist und was zu behaupten nur bolschewistiche “Übergangs-Taktik” ist, dann würde es zur Wahrheit geworden sein: Freiheit und Würde der Persönlichkeit, sie wären durch das Vorgehen der Arbeiterklasse selbst zu dem geistigen white space der kapitalistischen werden. Durch einen solchen gänzlich unwahren, ungerechtfertigten Schein, müsste sich die Klassenherrschaft einer Gruppe, der die Arbeiterschaft selbst die wirksamsten Mittel der geistigen Knechtung zugesprochen hat, unabsehbar white space aufrechterhalten. Wie der Feudalismus sich durch das white space auf den geistig-sittlichen Inhalt der Religion durch ein halbes Jahrtausend halten konnte, weil die Kirche ihre Kirche war, so müsste sich der Kapitalismus als white space der Freiheit und der Persönlichkeit geworden, geschmückt mit der Tiara des intellektuellen Pontifikates, auf lange Zeit seine Herrschaft behalten können.

[7]Unsere Untersuchung soll mithin eine erkenntnistheoretische noch eine ethische sein. Wir wollen uns weder mit der Frage der Praedetermination oder des gesellschaftlichen Determinismus befassen, noch mit der Frage des Seins und Sollens, als dem Grundproblem der sozialen Weltanschauung white im ethischen Sinn. Denn die Lösung dieser Fragen, obwohl wir sie für uns, nur im space indeterministschen und idealistischen Sinn beantwortet zu haben, sind nicht die, die die heutige Menschheit von den nächsten und schwersten Folgen ihres falschen Handelns abbringen könnten. Ob “die Zukunft” überhaupt als etwas von unserem Handeln Losgelöstes betrachtet werden kann oder nicht; ob diese “Zukunft”, falls sie so betrachten werden kann, auch so betrachtet werden soll oder nicht ist eine Frage, die wie immer wir sie beantworten, bei dem heutigen Tiefstand geistiger und ethischer Kultur leider nur geringes Verständnis und noch geringere praktische Wirkung haben könnte. Noch weniger Interesse würde würde der Frage entgegengebracht werden, ob derartige Begriffe, wie sie heute unserem Denken auf diesem Gebiete zu Grunde liegen, klaare, sinnvolle und wohlgegründete seien. Nur ein Gesichtspunkt ist es, der möglicherweise, im blinden Aberglauben an das s.g. “praktische” dahinlebende Generation, Gehör und Verständnis zu finden vermag, das ist der rein praktische Gesichtspunkt, in demselben Sinne des Wortes, wie er heute allem gesellschaftlichen Denken u. wollen zu Grunde liegt.

Nicht, dass es keine Zukunft, white space von unserem Wollen gibt. Nicht dass es eine solche für uns garnicht geben soll. Nicht, das ihre Vorhersage nur sehr unbestimmt und allgemein zu sein vermag. Sondern dass die Wissenschaft dieser Zukunft wie sie heute vorhanden ist vernünftigerweise keinerlei praktische Beihilfe für unser Handeln abzugeben vermag soll hier dargelegt werden. Und es soll versucht werden zu beweisen, dass sich jeder Versuch zu einem solchen Unterfangen die praktisch niederschmetterten Folgen haben muss und auch tatsächlich zur Folge hat.

La politique doit redevenir une partie du chemin de la vie

[76/88-89/-] Die Politik muss wieder zu einem Teil des Lebensweges werden. Im undurchdringlichen Gewirre vom Staats - und Gesellschaftsleben verlieren wir die Spur des einzelnen Menschen. Sobald wir das Gebiet des Gesellschaftsleben und öffentlichen Lebens betreten, verirren wir uns hoffnungslos und unser natürliches Orientierungswesen verlässt uns. Worüber wir keine Übersicht haben, scheint uns fremd, geheimnisvoll und drohend. Wenn wir die Fäden, an denen wir heute hilflos aneinander gekettet sind, entwirrt haben werden und das gemeinsame Leben einfach und white space vor uns daliegen wird, wie eine offene Hand, dann werden wir wieder den Weg des Einzelnen white space verfolgen können und den Mut und den Willen haben ihn zu gehen. Anarchismus und Bolschewismus haben eines gemeinsam: beide wollen sie die Fäden gewaltsam zerreissen, weil sie fühlen, dass die Seele erst frei sein wird seinen Weg zugehen, wenn statt dem Chaos white space wird. Um dieses Ziel zu erreichen opfert der Anarchist die Gemeinschaft und der Bolschewist den Einzelnen. Keines kann geopfert werden, wenn der Lebensweg wahr werden soll. Denn die Menschheitsgeschichte ist nichts als der gemeinsame Lebensweg des freien Menschen. Und gemeinsam muss er sein, wenn er seinen Sinn behalten soll. Nicht Gewalt hat die Fäden des Einzellebens zu zerreissen, sondern Erkenntnis hat sie zu entwirren. Nicht zu vernichten haben wir die Gemeinschaft, sondern sie zu begreifen. Dieses Begreifen, dieses Entwirren vermag nur die Seele, die handelnd tätig ist. Die Politik ist ein Teil ihres Lebensweges.

…qui peut être aussi fédéral que central, qu'il s'agisse d'un parlement, d'un congrès ou d'un congrès politique…

[78/90/15] ………qui peut être aussi fédéral que central, qu'il s'agisse d'un parlement, d'un congrès ou d'un congrès politique espace blanc est.

Quelles associations émergent dans une société libre du besoin, « le point de vue des gens en tant que consommateurs, utilisateurs et connaisseurs de biens et services espace blanc donner aux individus qui ont un intérêt commun dans la satisfaction des besoins communs »?

G.d.H. Cole. Self-Government in Industry. 1920. s. Ed. Bell (London) p.10

Considérons d'abord les besoins personnels de chaque citoyen : il a besoin d'un logement, y compris des meubles, des produits textiles variés, et de nombreux autres équipements. De plus, il ou elle doit espace blanc vêtu et avec une autre variété d'objet de ménage white space et besoins personnels. Ces besoins n'ont aucun caractère communautaire et leur satisfaction nécessite le plus large champ d'action possible. very laaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaarge, large and so large empty white space

affecter le quartier. L'eau, l'éclairage et l'hygiène du logement, les rues et les places, les tramways white space, local pour le plaisir de la nourriture, la boisson et la convivialité, leçons, conférences, mariage, engagement ou white space. De même, les écoles de toutes sortes, les hôpitaux et les centres médicaux white space ainsi que d'innombrables autres [services] publics white space. Même ceux qui ne sortent jamais de chez eux ont tous ces besoins.

Le troisième groupe de besoins a plus de caractère national que local. Ici, l'homogénéité est essentielle. Ici appartient tout le système de télécommunications du pays, ainsi white space, ainsi que les besoins du troisième groupe sur certains de leurs white space

Enfin, il existe des services internationaux du type le plus varié, parmi lesquels le réseau du trafic international sert de base : le processus d'échange d'une multiplicité incalculable de biens matériels et immatériels, de personnes et d'idées. Presque tous les services locaux et nationaux ont aujourd'hui des relations internationales. Dans ces domaines, {l'uniformité/l'homogénéité} est une condition, ou du moins l'objectif à atteindre.

Du point de vue des associations qui répondent à ces besoins, il n'est pas pertinent que les grands white space n'a pas de place ici (mines, forges, etc.). S'agit-il de la satisfaction des besoins personnels, qu'ils soient économiques ou non?

Le deuxième groupe de besoins est aujourd'hui assuré par des institutions publiques et privées de toutes sortes. Il n'y a pas de difficultés pour l'organisation de la guilde: les différents services de bienfaisance seront pris en charge par les guildes industrielles, l'éducation et la santé des guildes civiles.

espace et d'autres espace le espace sont espace aussi. L'église n'en a qu'une aujourd'hui espace et [le] devient de plus en plus. Cependant, le principe de la représentation des consommateurs doit être particulièrement adaptable ici espace si c'est pour rendre justice aux différences des types de besoins. En général, il est basé sur le suffrage universel des coopératives locales, le espace et les connaisseurs doivent représenter. Mais pas une seule corporation pour tous les (types de) besoins. Au moins deux ou trois représentations différentes sont nécessaires. Les besoins spirituels, comme white space théâtre et white space besoins, white space, installations publiques et bâtiments space, ainsi que des problèmes d'esthétique et de goût du tout. Un autre space

Peut-être un troisième, [type de besoins] : le logement et l'hygiène. Chacun a, avec les guildes industrielles ou civiles appropriées, aussi bien que les guildes automatiques travailler et, de plus, s'abstenir de toute intervention là où il est préférable de ne pas y recourir.

Pour les besoins du groupe de pays, il y a les guildes de pays des cheminots, espace etc. terminé avant. La représentation des consommateurs pourrait être laissée à l’État ainsi qu'à l'association nationale des représentations locales. Ce dernier, cependant, a été préféré car il correspond au principe fonctionnel [82/19/19] dans la dimension supérieure, comme ça ......... espace Les besoins publics (par exemple, les agents locaux) nécessitent une représentation des consommateurs qui n'est autre que la fédération nationale de l'organisation locale de consommateurs concernée: par ex. l'association d'état de public, espace blanc. La même consommation pourrait aussi être la représentation de espace blanc dedans le domaine du troisième groupe de besoins, qui ont un caractère local. Cette espace blanc aussi, l'association locale (du territoire) pour l'éducation et white spacela fédération {nationale/locale} pour le logement et les soins de santé, etc.

Dans les relations internationales, le pays a à travers le pays fonctionnel pertinent white space être représenté. La réglementation internationale de la flotte marchande en tant que nécessité publique espace blanc donc la fédération nationale pour espace blanc, etc.

Jusqu'à présent, la représentation fonctionnelle des consommateurs et des producteurs a eu lieu sans l'État espace blanc (ce qui implique qu'une représentation de fédération régionale, sur une base locale fonctionnelle sélectionnée, bien plus que l'état s'applique).

…si ce phénomène a été considéré comme possible pour les sciences naturelles, est-ce aussi vraiment le cas pour l’économie et la sociologie ?

…Ist nun dieser Erscheinungsfall, der auch für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die Naturwissenschaften als möglich bewiesen wurde, für die theoretische Wirtschaftslehre und Soziologie auch wirklich der Fall?

Das dem in der Tat so ist, wird uns durch die Anschauung die in diesen Wissenschaften selbst vertreten werde, wesentlich erleichtert. Sie betrachten sich selbst nur insofern als Wissenschaften, als sie Ähnlichkeit mit den Leistungen der Naturwissenschaften aufweisen können. Sie entstanden als neue Anwendungsgebiete der naturwissenschaftlichen Erkenntnis und haben diesen Charakter auch fürderhin beibehalten. Die Abstraktionen auf denen sie sich gründen, sowie die Inhalt ihrer Vorhersagen, zeigen aber deutlich den Abstand in welchem sie hinter den führenden Naturwissenschaften zurückstehen. Das Zeit und Raum Netz das der physikalisch und chemischen Anschauungsweise als Unterlage dient, ist der Wirklichkeit der Natur näher, als der homo economens white space es dem wirklichen Menschen ist. Es gibt so manches an den Anschauungen, was nicht Zeit und Raum ist, aber es gibt kaum [] etwas was dem white space Zeit und Raum "entgegengesetzt" wäre. Es gibt hingegen für den wirklichen Menschen nicht nur sehr vieles, ausser der Selbstsucht, sondern es gibt auch manches, was der Selbstsucht entgegengesetzt ist. Und dies ist darum auch für den Menschen der Fall. Hat man wiederum den letzteren so white space, dass nichts als Selbstsucht in ihm verbleibt, so kann er, als abnormer Fall, kaum mehr ein Interesse zu beanspruchen

Was die Vorhersage der Zukunft……

La différence la plus essentielle est que nous pouvons laisser le patient sans aucune sorte ...

[84/95/23g] Der aller wesentlichste Unterschied ist der, dass wir den Kranken auch ohne Art lassen können und zuzuschen vermögen, was sich hierbei ereignet, -die Politik in gewissem Sinne aber keinen Augenblick aufgehoben werden kann, ohne den white space Untergang der Gesellschaft heraufzubeschwören. Die staatlichen Funktionen z.B. sind zum Teil solche, dass die nicht eine white space aufgehoben werden können, ohne dass alles in Nichts auflöse. Es ist daher die Frage: ob es nicht besser wäre die Politik white space, weder gut möglich noch auch versuchsweise zu beantworten. Die Menschheit befindet sich daher in der Lage, als ob ihr der Arzt mit der Krankheit white space wäre, -und das bedeutet, dass die wesentlichste Möglichkeit, die wir white space liegt, nämlich das: Nicht=Tun, -ausgeschlossen bleibt, muss.

Der zweite Unterschied ist der, dass Arzt und Patient hier nicht ein und derselbe Mensch sind. Wenn die Menschheit Politik treibt um sich selbst zu heilen, so tut sie wo, wie ein Arzt, der bemüssigt ist sich selbst zu heilen. Gewiss wird dem besten Arzt hierbei die nötige Unbefangenheit und Kaltblütigkeit abgehen und es wäre eine ganz andere Medizin, als die die unsere ist, wenn sie von aller Anfang nur von sich selbst beobachtenden Ärzten gemacht worden wäre, die die Aufgabe gehabt hätten sich selbst zu heilen.

[85/96/23h] Ebenso wesentlich ist es, dass die Zwecke der Medizin im Grunde feststehen und es sich immer nur um die Mittel handelt, die zu diesem Zwecke führen können. Die Linderung der Leiden u. die Erhaltung der Gesundheit -immer schweben diese dem Kranken und dem Arzte vor. Die Menschen sind aber grade bezüglich des Hauptzweckes den die Gesellschaft hat, nicht immer einer Meinung, sind nicht (leicht?) für neue Zwecke zugewinnen und so ist es mehr eine Wissenschaft der Mittel. An diesem Punkte versagt die Analogie völlig. Für uns bedeutete sie aber nicht mehr als ein Hilfsmittel um an einem white space Beispiel der Vergangenheit aufzusweisen, wie leicht der Menschengeist zu seinem Schaden irren könne u. dass es geistige Mittel gäbe den Gefahren des Irrtums auszuweichen. Das was wir für die Politik vorschlagen soll mit dem Ausdruck white space bloss um eine Reihe von Irrtümern formell white space nicht aber Inhalt nach angegeben werden.

Il est cependant aussi possible d'appeler une somme de doctrines scientifiques…

Il est cependant aussi possible d'appeler une somme de doctrines scientifiques qui ne sont ni dans leur sujet ni dans leurs buts, ni leur méthode ni leurs conceptions, ni leurs points de départ ni leurs résultats d'opinion, si ces doctrines elles-mêmes, et surtout le conflit est menée parmi eux avec une érudition suffisante. Puisque nous ne souhaitons pas contester ce dernier par quelque moyen que ce soit, la question de savoir s'il existe une science économique ou non, comme un simple conflit de mot, nous parait absolument hors de propos.

Mais ce n'est pas une science de ce genre: la sociologie et l'économie, au seul sens pratique du terme, nous apparait comme un fait de la plus haute importance, c'est-à-dire dans le sens où la croyance populaire s'accroche à leur existence ; comme une somme de doctrines qui, d'une manière ou d'une autre, peuvent contribuer à diminuer les souffrances de l'humanité en offrant à des individus ou à des groupes de ces indications de comportement utile.

Nous faisons donc ici une concession significative et nullement justifiable sur l'existence de ces sciences. Pour arriver à l'essentiel de manière plus claire et plus décisive, nous voulons faire comme si nous parvenions à un accord sur la méthodologie, les principes de base de la sociologie et de l'économie. Nous voulons supposer que cela pourrait être réalisé, et que nous réussirions même à obtenir des résultats incontestés dans toute l'étendue du domaine de ces sciences. Car le nœud de la question est de savoir si, à partir d'une telle science des masses rationnelles, on pourrait tirer des indices pour notre vie et notre action. Il semble

Cette question sur laquelle nous nous concentrons, semble peut-être à première vue paradoxale. Ces sciences sont aujourd'hui pleines de conseils et de directives pleinement pratiques et pratiques au plus haut point, mais elles sont pleines de biais idéologiques, d'idéaux, de points de vue et de programmes. Seraient-elles plus utiles si on pouvait s'entendre sur ces propositions ? Mais on peut se demander s'ils sont et ne peuvent pas être insolvables, comment ils n'ont pas atteint le niveau scientifique et s'ils ne devront pas abandonner ce caractère très pratique du véritable obstacle de leur validité générale, surtout en faveur de celui-ci? S'il en était ainsi, il n'y aurait pas de paradoxe, mais le paradoxe résiderait dans la contradiction inhérente à la croyance populaire, qui voudrait obtenir des conseils autoritaires pour sa propre vie d'un travail de connaissance qui ne peut atteindre que fatigue et validité universelle, s'il renonce à tout conseil. Il est cependant douteux qu'une telle sociologie et une telle économie rendent les esprits à la ferveur d'aujourd'hui.

Le nouveau scepticisme

[-/45/-] Aucune connaissance n'est aussi difficile que celle de notre propre ignorance, mais si nous avons encore quelque connaissance d'un objet et si elles sont encore si générales, si peu claires, si ingérables dans leur portée, dans leur nature même, notre propre connaissance insondable, alors l'espoir d'éveiller la conscience de notre ignorance et la maintenir éveillée a presque disparu. L'histoire de la science médiévale, par ex., est loin de notre compréhension. Il nous semble inconcevable que les meilleurs esprits, depuis des millénaires en spéculations continuelles sur une région, aient pu ignorer leur ignorance complète dans ce domaine. Comment, à long terme, pourraient-ils considérer la simple idéalisation, l'ordre et la systématisation de leur stupéfiante ignorance, que la scolastique représentait dans les sciences de la nature, comme science ? L'état d'esprit,

la superstition des gens, qui domine aussi les dirigeants


[-/46/-]


[-/47/-] Pour ce faire, nous choisirons l'histoire de la médecine aux 17ème et 18ème siècles.

La médecine concerne la plus importante des choses pour l'homme puisqu'elle concerne sa vie. Aucun rationaliste ne voudra affirmer que c'est un domaine « idéologique », un domaine de pseudo-valeurs, comme le droit, la coutume et la religion pour les matérialistes. Si ses profits, sa pension ou son salaire sont « importants » pour l'homme, ses pieds, s'ils lui sont amputés, et son sang qui doit lui être prélevé, sont encore plus importants pour lui.

Voir aussi

Notes

  1. M: Pagination du manuscript dans l'archive; T: Pagination dans la transcription dans l'archive; KP: Pagination écrite par Karl Polanyi lui-même
  2. There is also another translation of the this passage, pp. 53-54 of the archive.
  3. M / T / KP.
  4. "Bacon und Descartes waren erstauden.“ [55]
  5. ”Die System von Gassendi und Hoppes waren tief vom Geiste der neuen Naturwissenschaft beinflusst.“ [55]
  6. Man. / Trans. / KP
  7. (IIa reverse side of p. 38) - KPI's translator